AccueilAccueil  Wikia  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Ϟ WANTED Ϟ
Ils sont beaux ! Ils sont chauds comme la braise ! Jetez-vous sur les prédéfinis du forum ! Ça se passe par ! Ϟ ULTIMA CAVE Ϟ GROUPE V - Page 4 587073792
Magique boîte à idées
Tu n’as pas d’idées de perso ? Sache que nos membres en ont pour toi ! Consulte ce sujet Ϟ ULTIMA CAVE Ϟ GROUPE V - Page 4 587073792
Ϟ Scénario à l'honneur Ϟ
Tu aimes le drama familial & les petits Phénix aux ailes liées ? Alors Colin Rees est fait pour toi ! Ϟ ULTIMA CAVE Ϟ GROUPE V - Page 4 3613870186
Ϟ Scénario à l'honneur Ϟ
Le Bunker Inquisiteur a besoin de ses ouailles ! Gonfle les rangs avec David Rosenthal ! Ϟ ULTIMA CAVE Ϟ GROUPE V - Page 4 3258294192
Ϟ Scénario à l'honneur Ϟ
Représente le bayou et le monde de la nuit avec Kayin Layibadé Ϟ ULTIMA CAVE Ϟ GROUPE V - Page 4 3777389882
Le Deal du moment : -50%
-50% sur les sacs à dos pour ordinateur ...
Voir le deal
19.99 €

❝ Ϟ ULTIMA CAVE Ϟ GROUPE V ❞
 :: Royaume-Uni :: Avalon :: Le Centre
P.T Carrow
HAVE YOU SEEN THIS WIZARD ?
P.T Carrow
Messages : 98
Date d'inscription : 04/09/2016
Célébrité : Cillian Murphy / Eva Green
Crédits : Kim

Sang : Sang-pur
Statut : Célibataire / Mariée avec enfants
Métier : Contrôleur des médias / Professeure de Magie Noire
Ϟ ULTIMA CAVE Ϟ GROUPE V - Page 4 Empty
Re: Ϟ ULTIMA CAVE Ϟ GROUPE V
ce message a été posté Jeu 19 Oct - 23:21
« Septième tour » 
Let the sky fall



La tour vibrait tout entière, faisant craindre le pire au Kark. Pas une seconde fois. Mais il fallait fuir, abandonner le fief des médias une nouvelle fois. L’idée lui soulevait le cœur autant que la fumée qui s’échappait des escaliers commençaient à lui brûler les yeux.

«Nous ne devrions pas tarder à trouver ces escaliers... » Avancer à tatons dans un étage qu’il ne connaissait que peu n’était pas aisé. Le ministre en bon guide suprême de la nation avait de son mieux pour ouvrir la marche. Soyons honnête moins par devoir, que par intérêt. Lorsque sa main se posa enfin sur la poignet de la fameuse porte, le Kark sentit la tension dans ses épaules se relâcher légèrement. Il avait réussi, comme il réussissait toujours. À cette réflexion, un sourire zébra son visage tendu, pour disparaître aussi sec à l’ouverture de la porte. Aucun escalier dans son champ de vision, mais le canon menaçant d’une arme moldue. « PLUS UN GESTE ! » Comme une cruelle farce, on entendit au loin la porte qu’ils avaient bloqué, céder.


***


Charlotte étouffait, de chaleur et d’asphyxie. Elle avait lancé un regard impuissant à son oncle qui déjà, elle voyait à la façon dont il tenait son arme envisageait de vider son stock de munition pour dessiner à la force de ses balles une ouverture dans la porte. Lorsqu’enfin la porte céda toute l’escouade se déversa dans l’étage à la recherche de l’air offert par le trou béant dans la Tour. Le vent était une bénédiction destructrice, car alimentait en un rien de temps les flammes qui dévoraient les escaliers. Des cris, et le son des armes, les portèrent tous à l’autre de bout de l’étage.

***


Cinq. Cinq moldus lourdement armé. Il les aurait tués en cinq battements de cœur. En un revers de main. Mais la magie refusait les suppliques silencieuses du Kark, qui impuissant avait vu Aveline et Agapanthe Kirke se faire tirer dessus. Plus malin, le ministre n’avait pas cillé, se contentant de jauger l’ennemi dans la pénombre. La situation était critique, mais pas inextricable. Il avait connu pire, était revenu de pire. Il était préparé. L’absence de magie était une plaie, mais elle n’avait rien de définitif. La vermine moldue n’était parvenue à la faire disparaître qu’une heure à Tinworth. Nul doute que l’épisode ne serait pas plus long. Le temps était l’allié le plus précieux du Kark, et il comptait bien – comme tous ses alliés – en exploiter chaque fragment à son avantage. Les moldus tenaient leurs armes avec peu d’assurance, quant à leurs vêtements hétéroclites ne faisaient que confirmer l’intuition du ministre de la magie : il était face à des larbins. Et Mervyn avait bien l’intention d’instrumentaliser chaque défaut de ces sous-fifres de base. «Je suis Mervyn Kark, si je dois être capturé j’exige d’être amené devant votre maître. »

Les raclements de gorge qui suivirent confirmèrent l’intuition du Kark. Dans le noir d’encre de la tour, ils ne l’avaient pas reconnu, sans doute pas même envisagé. Et déjà, le ministre le savait, germait en eux une terrible indécision. Fallait-il l’emmener à leur leader ? L’achever sur place ? Non. Ils ne feraient pas ça, car ils n’étaient que des larbins. Et cette décision, ils le savaient au fond d’eux, ne leur appartenait pas. Ils avaient trop peur de choisir, d’opter pour la mauvaise option, s’attirer le courroux de leur maitre. Alors que le ramener en vie, l’offrir, flatterait leur chef, et ils seraient récompensés. Mangemort ou Phénix, Sorcier et Moldus, les Hommes raisonnaient tous de la même façon. Et Mervyn les dominait tous. Il avait toujours sut lire dans leurs esprits faiblards, leurs cœurs transparents, et leurs émotions malléables, et toujours il les dompterait. « Bien. Donnez-nous vos baguettes, et… »

«Elle s’est brisée, consumée dans l’incendie. » Mensonge confirmé par l’assurance dans son ton et l’odeur de roussie. Le ministre de la magie avait profité de l’obscurité pour masquer sa baguette dans un pli de sa robe de sorcier. Au premier sursaut de magie, il les massacrerait tous. Ils mourraient sans le savoir, sans comprendre. Il entendit aux bruissements des étoffes que les cinq moldus s’agitaient, en proie à une nouvelle indécision. Disait-il la vérité ? Fallait-il le fouiller ? Oui. Ce temps perdu, était tout gagné pour le Kark. Mais déjà le claquement d’autres pas résonnait dans le couloir, et des éclats de feu ramenaient un peu de lumière dans la pénombre. La vermine qu’il pensait avoir asphyxié pour de bon, arrivait, armée de torche fabriqué avec des pieds de chaise. Ingénieux, mais tellement barbare.

Plus de monde, tant mieux. Plus de débats, plus de larbins avec des avis éclairés. Plus de temps, plus de morts. Ou bien ? Mervyn sentit cruellement quelque chose changer, le vent tourner. Et ça n’avait rien avoir avec la fumée qui s’intensifiait. Les cinq moldus s’étaient raidis, redressés, comme surpris, frappé par… par la présence de leur chef. « Votre Al… » Le moldu se ravisa corrigeant ce qui semblait être une erreur. « Henry, nous avons trouvé… 
- Mervyn Kark. » Acheva Harry Windsor, implacable, royal.

***

Le cœur de Charlotte tambourinait dans sa poitrine, comme un écho au sang qui bourdonnait dans ses oreilles. Elle n’avait pas peur, non, coulait en elle une détermination brûlante alimentée par quinze ans de d’errance, quinze ans de deuil interminable, quinze ans à espérer vengeance. La jeune femme ne se battait pas pour son frère qui avait péri sous ses yeux sous la baguette meurtrière de ces monstres. Pas pour ses parents dont elle n’avait appris la mort que des semaines plus tard, après des heures à osciller entre espoir et craintes. Pas pour ses grands-parents premiers sacrifiés par les mangemorts pour le symbole qu’ils représentaient. Non. Charlotte, ce soir, vengerait son peuple. Et cette mission transcendait toute peur, car ce n’était pas sa main qui agirait mais celle de toute une nation réunie dans cette souveraine justice.

Les trois mangemorts encerclés avaient été conduits plusieurs étages plus bas, là où l’incendie n’avait pas encore atteint la structure. Chaque canon d’armes étaient pointés en un cercle la direction de l’ennemi, prêt à faire feu.
« À genoux. » Ordonna-t-elle au ministre qui la toisait de sa morgue légendaire. « À genoux. » répéta-t-elle alors que Mervyn Kark refusait de courber l’échine. Deux paires de bras se chargèrent de le faire s’abaisser, s’incliner devant elle. Alors, Charlotte ôta enfin sa cagoule, dévoilant un visage qui avait été connu par des milliards d’âmes, un visage qui dès le berceau s’était étalé sur les couvertures glacée des magazines. « Mervyn Kark, en ce contexte de guerre, et en l’absence d’institutions démocratiques choisies par le peuple d’Angleterre. Moi, Charlotte Elizabeth Diana Windsor, sa majesté Charlotte Ier par la grâce de Dieu, reine du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord et de Ses autres Royaumes et Territoires, chef du Commonwealth, défenseur de la Foi, vous condamne à mort pour le génocide de l’Humanité. » Charlotte vit se peindre un sourire narquois tordre le visage du sorcier, comme un crachat lui étant adressé. Elle ne cilla pas, elle était prête. « Puissiez-vous, ne jamais trouver le repos. Puissiez-vous toujours subir les conséquences des atrocités de vos actes. » Cette fois-ci un rire nerveux à moitié étouffé s’échappa des lèvres du Kark. Il n’y croyait pas. Tant pis, Charlotte y croyait pour deux, pour plus, pour un peuple, le sien. Goguenard, il commença : «Mais, vous êtes… » La reine ne sut jamais ce qu’elle était, car déjà sa main s’était levé en un signal. Les balles avaient fusé, et le Kark ne termina jamais sa phrase. Il était mort. Pour de bon.

« Libérez-les. » Ordonna la reine, en pointant d’un geste de la main les deux mangemorts. « Libérez-les, car il faut qu’elles vivent et portent un message aux leurs. Dites-leurs ce qu’il advient aux assassins, dites leurs ce que la couronne fait des monstres. Et n’oubliez ces mots, car ils ne vous quitteront jamais : Dieu et mon droit. »

Les mangemorts furent relâchées, et Charlotte put entendre le bruit de leurs pas résonner dans les escaliers. Ils leur laissèrent quelques minutes d’avance avant de fuir la tour en tourment à leur tour.

« Informations »


Ce qui se passe dans votre groupe :

ϟ Petit résumé : Après  « le drame », Aveline et Agapanthe sont libérées ( de force ou pas à vous de voir), et dévalent les escaliers pour fuir la tour pantelante. Les phénix et les inquisiteurs les suivent à une distance raisonnable, donc plus de bastonnade. Vous descendez tous toute la tour. On fait une petite ellipse. Vous venez cependant de vous taper une descente à pied, longue (très longue), secouée (plutôt secouée). Vous n'êtes clairement pas en état de vous battre, et pourtant...

ϟ Les rappels sur la situation : On vous rappelle que la magie n'est toujours pas là. Par ailleurs, vous avez des jolis tremblements dus à Magicorp, situé au-dessus de la tour (vous savez, le truc qui flotte) qui se désagrège, faute d'énergie, et qui tombe sur la tour... Ϟ ULTIMA CAVE Ϟ GROUPE V - Page 4 1381409719 OUPS. Ah, et toujours pas de lumière dans les escaliers, on dit merci aux éclairs qui éclairent la scène. Mais heureusement pour vous, l'ellipse fait qu'au bout d'un moment indéterminé, vous arrivez ENFIN en bas.

ϟ Keskonfé : C'EST LA GROSSE BASTON ET LA PANIQUE POUR SE CASSER ! En vrai, vous avez descendu toute la tour, ça vous a pris un temps fou et vous êtes claqués, en plus d'arriver les derniers en bas de la tour.

ϟ Absences Agapanthe et Aveline ont raté un tour.

ϟ On déménage ! Vous vous retrouvez dans le groupe suivant.

 :: Royaume-Uni :: Avalon :: Le Centre