Se sauver des archives:

Dé - Se barrer:

Résumé:

Il avait fait mouche ! Incroyable mais vrai, il avait stoppé le moldu qui s’en était pris à lui en pleine course. Il n’eut pas vraiment le temps de savourer sa victoire, la matriarche Zabini s’étant remise en marche. Il nota mentalement de ne jamais au grand jamais lui donner de raison de se servir de ses talons sur lui. Mais il n’en pouvait plus et cet usage original de la chaussure ne le fit même pas grimacer. Il ne se risqua pas à analyser cela, il fallait juste qu’il avance, pour le moment, ce qui était déjà un exploit en soi. Il sentait du sang goutter le long de son bras, là où l’arme moldue l’avait atteint. Avancer et ne pas penser. Et une autre terroriste revint, trop rapide pour qu’il la voie, qu’il anticipe et qu’il empêche Ellaria de se retrouver jetée au sol. Le temps avait l’air de subir des dysfonctionnements également, ralentissant, s’accélérant d’un coup et …  Il se prépara, croisant ses bras devant le visage pour se protéger … et reçut un liquide chaud et visqueux. Ses dents grincèrent, visualisant le sang de quelqu’un s’étant pris le sortilège, le … Il en pleuvait sur lui. Qu’est-ce que … ? Il releva la tête, pour voir la boue se stopper soudainement, alors qu’une sensation un peu trop familière dorénavant le secouait. La magie … Attrapez tout ce qui peut faire mal et rattrapez-les ! Au temps pour ma théorie, articula-t-il mécaniquement en cherchant des yeux quelque chose … Il rempocha sa baguette, de peur qu’il lui arrive quoi que ce soit, même si ce n’était plus qu’un bout de bois … et en parlant de bout de bois… Ses yeux tombèrent sur la chaise qu’Ellaria avait ignoré. Il fit quelques pas dans la boue, trop mécanique pour risquer de glisser pour l’instant et empoigna un pied de chaise qui vint assez facilement.

Il s’assura que Cassandra allait bien, enfin en tous cas aussi bien qu’ils pouvaient tous aller actuellement et obéit aux ordres du chef de groupe, remontant le couloir. Il vit les terrotistes s’engouffrer dans une salle et suivit le mouvement … pour se retrouver face à une pluie de parchemins. C’est mieux que de la boue, commenta-t-il machinalement, avant d’essayer de se frayer un chemin dans cette pluie de papier qui ne semblait pas vouloir s’arrêter. Une image lui revint, d’une bibliothèque sans fin dont il cauchemardait quand il était enfant, il pourchassait une silhouette … mais était également suivi. Le sentiment de déjà-vu s’intensifia alors qu’il s’engouffrait dans les rayonnages, essayant de faire taire ses petites voies intérieures, de la raison, de la mémoire, du jugement qui tentaient de se remettre à exister pour lui dire que rien ne tournait rond. Et soudain, devant lui, une silhouette … n’était-ce pas la personne qui avait agressé Ellaria ? Ne pas faire du bruit. Tenter … Le danger était réel, il en était conscient. Mais il fallait faire quelque chose … Et ne surtout pas penser à ce qu'il allait faire. Non. Surtout. Pas. Silencieusement, il s'approcha, leva son arme ... et frappa. Il avait plutôt visé ... en fait il n'avait pas visé. Mais il sentit soudain son pieu s'enfoncer dans ... la chair ? Oh il avait eu le bras. Et il y avait du sang ... du sang partout !

I AM BUFFY a écrit:

OUI OUI : Nilhem attaque Erika par surprise et l’atteint salement à la jambe à l’aide de son pieu improvisé.
OUI NON : Nilhem attaque Erika par surprise et l’atteint au bras avec son pieu improvisé.
NON OUI : Nilhem se fait surprendre par une étagère tombant devant lui, lui bloquant l’accès à Erika.
NON NON : Nilhem se fait surprendre par une étagère tombant devant lui, lui bloquant l’accès à Erika et perd son arme improvisée.

Résumé:

Dés 1:

Dés 2:

Résumé:

Décidément, la mort devenait une amie fidèle. Ou en tout cas une bonne connaissance qu'elle avait maintenant l'habitude de croiser régulièrement... Après le douloureux coup de talon aiguille de la vieille peau - même si en l’occurrence c'était plus une perforation au talon qu'un simple coup - il avait fallut que She et elle se retrouvent à nouveau face à la célèbre chanteuse Has-Been dont elle rêvait d'arracher les cordes vocales, autant pour ne plus l'entendre à la radio que par pur plaisir. Cela faisait deux situations délicates dont elle avait été sauvée de justesse par .... une magicienne. Si elle n'avait pas été si occupée à courir pour sa vie, Matt aurait probablement prit le temps de lui faire savoir à quel point elle n'était PAS reconnaissante. Après tout, c'était bien pour ce genre de situations que les Inquisiteurs avaient accepté cette alliance avec les Phénix ! Pas de quoi en faire un fromage. Elle allait pas la remercier d'avoir fait sa part du contrat non plus, fallait pas déconner !

Elle prit toutefois le temps de glisser un « Merci » essoufflé à l'arabe qui était venue à son secours. Sans elle - ..... et sans la sorcière, D'ACCORD ! - elle ne serait probablement déjà plus de ce monde fou. Il faudrait qu'elle prenne le temps de lui accorder un peu plus qu'un simple mot quand elles seraient sorties de là. Et éventuellement qu'elle s'excuse de l'avoir jugée trop vite après son bref passage chez Mulciber. Mais grâce à Dieu, elles auraient le temps de discuter de tout ça plus tard. Et Dieu semblait encore une fois de leur côté puisque elle voyait se dessiner les escaliers dans son champs de vision. Elle accéléra aussi vite que le lui permettait sa cheville puis dévala les marches sans lâcher le bras de Sheherazade, alternant les grognements de douleurs et les bouts de prières désespérées.

« Mon Dieu, Seigneur tout puissant, piti.... PUTAIN ! .... guidez nos pas, sauvez nos âmes, menez nous vers la.... MERDE ! »

Cette fois-ci, toute la volonté du monde ne lui permit pas de contenir la douleur qui martyrisait le bout de sa jambe. Elle sentit son pied se dérober sous son poids et s'accrocha à sa béquille humaine dans une vaine tentative de ne pas dévaler les escaliers quatre à quatre. Evidemment.... ce fut un gros fail. En plus de rouler comme un cognard fou dans les escaliers - en aggravant au passage l'état de son dos et de sa jambe - Mathilda, entraîna la pauvre Sheherazade dans sa chute. Elle n'eut toutefois pas vraiment le temps de le réaliser.... Tout ce qu'elle vit, c'était les marches qui heurtaient sa tête une par une, comme dans une sorte de manège fou. Puis finalement, l'immobilité. Une douleur paralysante. Et ces points flous qui semblaient danser devant ses yeux. La mort allait-elle la frôler une nouvelle fois ?

Dés de FDD (Fuite Désespérée Désastreuse):

Résumé du tour 6:

Le SANG. Il y avait du sang partout. Et c’était lui qui l’avait versé. Il aurait du ressentir quelque chose, un choc, de la honte, avoir envie de vomir … mais rien. Rien ne venait. Le mode pilote automatique était de retour alors qu’il regardait sa victime s’échapper sans réellement la voir. Ce fut la sensation de la magie le quittant une fois de plus qui le fit réagir. Comme se réveillant d’un cauchemar… ou se réveillant dans un cauchemar. Il faisait noir, tout à coup. Un éclair déchira l’obscurité et il entendit une voix, non loin : C’est bon, on les suit et ON SE TIRE DE LA ! SAUVEZ VOTRE PEAU OUBLIEZ LA MISSION ! Zabini. Abandonner la mission. C’était ce qu’il voulait depuis le début. Retrouver son laboratoire. Même son lit, avec ses cauchemars actuels. Ne pas avoir de matériel pour en faire plus. Mais il était trop tard … beaucoup trop tard. Il ne s’était pas remis en marche, pas encore. La sortie n’était pas loin, son esprit avait enregistré d’où venait la voix. Ses yeux étaient tombés sur son arme improvisée, couverte du sang du leader de la troupe, qu’il avait blessée. Tout ça, c’était leur faute. Tout allait bien, avant qu’ils ne se mettent à se rebeller. A faire exploser des gens. A faire dérailler la magie. A tenter de renverser l’ordre établi. Sa famille … C’était leur faute, s’il était là. Sa faute, à elle, d’ailleurs. Quelque chose venait de craquer, dans son esprit. Il lui fallait un coupable pour ne pas péter les plombs, il s’en rendrait sans doute compte plus tard. Mais pour l’instant …

Pour l’instant il se remettait en marche. En tournant au coin de l’armoire, il put voir la sortie. Il ne calcula même pas où étaient ses alliés. Cassandra avait assez de ressources pour trouver la sortie, il en était persuadé. Et il allait le retrouver, en passant par là. Ou elle le retrouverait. Mais ils allaient sortir de là. Mais pas avant d’avoir réussi la mission. D’avoir arrêté au moins un de ces terroristes. Leur avoir fait payer cet affront. Que tout cela n’ait pas été inutile. Tout ce sang … toute cette absurdité … La porte était passée. Il ne se rendait même pas compte de tout le reste. Il ne pouvait pas se permettre d’absorber plus d’informations. Sinon il allait perdre les pédales. Enfin encore plus qu’actuellement. Il y avait les escaliers. Et il y avait cette silhouette … ensanglantée. Evidemment, elle fermait la marche. Elle protégeait leur fuite. Les phalanges blanches à force d’avoir serré, il ne réfléchit pas. Silencieusement, il fonça. En oubliant qu'il manquati terriblement de coordination. Dans son élan, il se prit les pieds dans ... qui sait ? Et se retrouva à dévaler les escaliers, chaque marche laissant sa marque sur lui et tentant de le ramener à la réalité. Il. n'était. pas. un. guerrier. Il. Fallait. Fuir. Quand.
Il. Arrêterait. De. Tomber.

RAMBO NINI a écrit:

OUI OUI : Nilhem débarque comme une furie sur Erika, lui assène un nouveau coup de pieu, l’atteignant cette fois à la jambe. Il reste debout.
OUI NON : Nilhem débarque comme une furie sur Erika, lui assène un nouveau coup, de nouveau au bras. Il chancelle.
NON OUI : Nilhem débarque comme une furie pour agresser Erika. Ils roulent boulent sur quelques marches en se battant.
NON NON : Nilhem se prend les pieds dans une marche et se casse la figure, dévalant les escaliers.

Résumé du tour 6:

Salut poto !:

Résumé tour 6:

Dé 1:

Résumé:

dés:

Résumé: