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Sujet: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe I | Invité
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| Rechercher dans: Les fiefs Sang-pur Sujet: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe I Mar 6 Fév - 14:08 | Le carnage ne tardait pas. Il ne se faisait pas attendre. Obbie s'y était attendu et ça n'aurait pas été drôle sinon, pas vrai ? Sauf que là, il avait l'impression d'avoir une bande de gamins à gérer. Les possibles attaques contre lui, évitées. Il ne s'estimait pas plus doué qu'un autre mais disons que là, il avait l'impression d'avoir une bonne étoile et qu'il comptait bien en profiter.
Le mobilier à la con qui se met à bouger, cette voix venue d'outre-tombe, vraiment pas nette cette famille. C'était sensé impressionner qui, ce bordel ? C'est plus impressionnant de voir des assiettes qui volent partout, ça lui rappelait lui-même gamin quand il a découvert ses pouvoirs.
Il regardait les autres essayaient d'ouvrir la porte et manquer d'y parvenir, un CONFRINGO rageux sortait d'entre ses lèvres pour faire exploser cette foutue porte, qu'ils puissent avancer. Il valait mieux qu'il se concentre sur la possible explosion de cette porte que les conneries que Nero étaient entrain de faire avec sa rouquine.
Confringo qui ne marchait absolument pas, le sort se perdant en cours de route contre un objet quelconque. Tant pis. Il aurait au moins essayé et il fallait vite se concentrer sur ce que faisaient les autres autour de lui. L'envie de chopper Nero et lui en coller une ou le secouer, ça lui prenait assez mais il valait mieux regarder les autres aussi. Et Arutha, que ce connard ne profite pas pour s'échapper ou... Merde.
Repulso !
C'est ce qu'il lance à la volée en voyant une armoire lui foncer dessus. Armoire qu'il parvient à repousser mais qu'il se doit d'éviter avant sa possible chute en avant. Du gros n'importe quoi cette soudaine mission, il fallait bien se douter qu'ils n'allaient pas se laisser faire bien gentiment et au moins l'action commençait d'entrée de jeu, disons plutôt qu'il s'était attendu à mieux qu'un vaisselier volant et des gamins pour défendre l'honneur des fameux "grands mangemorts", c'était assez décevant. Se faire casser la gueule par du mobilier, ils ont l'air bien les mangemorts et les phénix. Là encore, pas besoin de se faire du mal entre eux, le mobilier s'en chargeait pour eux. - Dey:
Oui : CA MARCHE, ON SE CASSE. Non : Désolé les mecs, on va s'attarder encore un peu ici.
Si non :
Oui-Oui : Au revoir armoire, c'est beau tout ce bois qui explose contre un mur. Oui-Non : Ca expulse l'armoire mais pas assez pour la péter, au moins il est safe.
Non-Oui : Le sort s'échappe, il se recule au dernier moment mais se prend l'armoire qui tombe sur le pied droit : fock. Non-Non : Il se prend l'armoire de plein fouet, ça fait bobo.
- Résumey:
Le mobilier attaque et Arutha est enfermé dans la salle des baguettes avec les deux PNJs Phénix.
Hélios Kark rentre, à nouveau, à l'intérieur du salon. Il lance un everte statum à Obbie mais heureusement, ça touche une chaise qui s'écrase contre un mur (parce que Scylla a discrètement dérivé son sort). Toujours ivre, il ignore où est Arutha.
Et ce n'est pas Scylla, entrée peu après lui, qui va l'aider. Elle est trop occupée à éviter qu'une chaise n'aille jouer au rodéo avec Saïmen, puis à empêcher un vaisselier de gerber ses assiettes sur Louisa (et surtout, sur Nero, mais chut). Sauf que son incarcerem n'a pas pris la totalité du meuble. Un tiroir à couverts fait fuser son argenterie. Scylla se prend un couteau dans l'épaule, fiché jusqu'à la garde et elle crie même « putain » tellement ça fait mal, connerie de merde !
Isilde envoie un Confringo qui endommage la porte, esquive de peu une table qui lui fonce dessus puis se ramasse par terre en voulant stupéfixer Obbie, faisant au passage tomber un lustre qui éclatte violemment au milieu du salon.
Saïmen, l'épaule en sang parce que Obbie lui a "tiré" dessus, réussit néanmoins à se protegoter des couverts fous qui ont blessés Scylla ET à les sauver tous les deux de la chute d'un sofa violent.
Nero, qui a échappé de peu à l'attaque du vaisselier, se relève et constate que les effets du maléfice de jambencoton ont commencé à se dissiper, tout en faisant son calinero jaloux comme un poux. {#}MATURITÉ{/#} Il esquive de justesse l'attaque furieuse d'un fauteuil et transplane à côté des Lagides. Là il balance son poing dans la figure de Saïmen, et en profite pour kidnapper Scylla en lui arrachant au préalable le couteau qu'elle a dans l'épaule pour mieux la menacer avec. Ils font quelques pas en direction de la porte, sur laquelle il balance un confringo. Le sortilège fonctionne, mais n'a un effet que très limité.
Vu que Saïmen est déstabilisé par le sort d'Obbie, le Rete Fulgurator cesse. Jones n'est pas moins en colère et a envie de manger tout le monde. Il évite le lustre qui tente de l'embrocher et tente de le renvoyer vers un des Mangemorts, mais sa baguette refuse de coopérer davantage pour l'instant. Un accès de fureur magique incontrôlé casse des carreaux des fenêtres : on se pèle, en plus, maintenant.
Sam (...)
Obbie tente un confringo qui échoue lamentablement, se répercutant sur une assiette. Il tente d'échapper à une armoire et réussit. L'envie de secouer ou en coller une à Nero est forte mais il reste à distance, mieux vaut trouver un moyen de se barrer et achever la mission plutôt que perdre son temps.
| Sujet: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe I | Sam Callaghan
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| Rechercher dans: Les fiefs Sang-pur Sujet: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe I Mar 6 Fév - 4:50 | « ’SPÈCE DE… » Ses insultes se perdent dans des grognements de douleur et l’Américain se force à cesser de bouger, chacun de ses gestes générant du filet une décharge électrique. Sale Mangemort graisseux, empiffré de propagande, au parfum agressant pour son odorat. Ses doigts tremblent, sur sa baguette, veulent la laisser tomber, et il s’y accroche comme la misère sur le pauvre monde, cherchant un contre-sort au Rete Fulgurator. Ou sinon, une façon d’attaquer son assaillant, afin de lui faire perdre sa concentration. Le salut lui vient d’Obbie, merveilleux, du coup de canon de son sort qui fait une seconde geindre le lycanthrope, recroquevillé au sol avec inquiétude. Il doit s'habituer à tout cela. Le sort du Belge touche le Mangemort, et le sort qui emprisonnait Jones dès lors se dissipe. Le sort, certainement, mais sa mauvaise humeur, elle… loin de là. Très loin de là, même. Son coeur se débat encore à toute allure, il tremble un peu, jusqu’au bout de ses doigts, mais à nouveau debout sur ses deux pieds, il peut mieux évaluer la situation. Les sorts jetés d’un côté et de l’autre, la voix de feu Mervyn Kark qui résonne lugubrement dans toutes les pièces, et tout le château Kark qui se met en mouvement. Une seule inspiration, une expiration, et le mobilier entre dans une transe, une danse, folle et meurtrière, afin de tuer les envahisseurs. Peut-être pas uniquement eux, à voir les meubles foncer les Mangemorts et les Phénix à égalité. Un bruit de verre cassé, assourdissant, se suit d’un lourd raclement contre le parquet gondolé, déformé. Le mouvement du lustre lui semble presque lent, malgré la vitesse à laquelle il se déplace, et il a tout le temps de prendre son élan et de sauter par-dessus l’objet, sans même l’effleurer. Il faut bien que ses sens nouvellement affinés lui servent un tant soit peu, n’est-ce pas ? Il atterrit souplement sur ses pieds et le lustre, lui, fonce dans le mur sans s’arrêter, ses branches tordues et tranchantes enfoncées dans la tapisserie. Il ne faut pas bien longtemps à Jones, avant d’imaginer ces mêmes branches enfoncées dans le corps de l’un ou l’autre de leurs ennemis, afin de l’immobiliser pendant qu’ils traverseront la porte, pratiquement défoncée. Un mouvement de poignet, afin d’expédier le lustre en sens inverse, mais le sort… rate. L’éclair éclate et meurt tout juste au bout de sa baguette, laissant une sensation subite de chaleur sur la main de l’homme, sans plus. « Non, non, c’pas l’temps », bredouille le blond. Elle lui a fait ça quelques fois, pendant le mois de janvier, mais il espérait… il avait pris pour acquis que c’était terminé, tout cela ! Ces petites crises ridicules ! Il retourne sa baguette vers la porte, qu'il voit derrière Nero et sa prisonnière. Le « Confringo » est enterré par les grincements du lustre qui tente de se désencastrer du mur et une nouvelle fois, presque rien. Le sort fuse et meurt, et Jones a un cri pratiquement animal de frustration. La porte n’explose pas, et sa baguette refuse de coopérer, mais sa magie, elle, trouve tout de même le moyen de se manifester. Derrière eux, les carreaux des fenêtres éclatent, jaillissant sur eux en pluie tranchante et tintante, glaçons coupants. L’air glacial de février s’engouffre dans la pièce. Charmant ! - Lancers plus ou moins ratés (surtout plus):
1er dé : Mobilier d'attaque OUI : Jones évite la revanche du lustre cassé par Isilde. L'objet tente de l'embrocher sur ses branches aux pendeloques tranchants, mais heureusement rate.
NON : L'objet massif fonce à toute allure dans les jambes du lycanthrope, qui saute pour l'éviter, mais pas assez haut. Il se prend le parquet de plein fouet en retombant, en pleine gueule, le mollet méchamment entaillé.
2e dé : Attaque (seulement si OUI au premier dé)
OUI : Il renvoie le lustre fou vers Hélios, toutes branches tranchantes devant. NON : Le sort pétarade au bout de sa baguette - comme si c'était le moment de se montrer récalcitrante, merde !
3e dé : Porte
OUI OUI : Ça défonce avec une telle force qu'il y a du verre et du bois qui vole partout, jusque dans les gueules de leurs copains Mangemorts. Désolé mon beauf préféré, mais tu fais un peu barrière de ton corps viril pour Scylla. OUI/NON : Ça défonce proprement. Mais si on sort ! NON/OUI : Ça défonce un peu n'importe comment et un imprudent risquerait de se faire plein d'échardes longues comme le ras, mais c'est praticable. NON NON : Niet nada. La porte n'explose pas du tout, alors que la baguette refuse de coopérer avec son sorcier. Quelques carreaux se brisent, par contre, sous l'effet de la colère.
- Résumé:
Le mobilier attaque et Arutha est enfermé dans la salle des baguettes avec les deux PNJs Phénix. Hélios Kark rentre, à nouveau, à l'intérieur du salon. Il lance un everte statum à Obbie mais heureusement, ça touche une chaise qui s'écrase contre un mur (parce que Scylla a discrètement dérivé son sort). Toujours ivre, il ignore où est Arutha. Et ce n'est pas Scylla, entrée peu après lui, qui va l'aider. Elle est trop occupée à éviter qu'une chaise n'aille jouer au rodéo avec Saïmen, puis à empêcher un vaisselier de gerber ses assiettes sur Louisa (et surtout, sur Nero, mais chut). Sauf que son incarcerem n'a pas pris la totalité du meuble. Un tiroir à couverts fait fuser son argenterie. Scylla se prend un couteau dans l'épaule, fiché jusqu'à la garde et elle crie même « putain » tellement ça fait mal, connerie de merde ! Isilde envoie un Confringo qui endommage la porte, esquive de peu une table qui lui fonce dessus puis se ramasse par terre en voulant stupéfixer Obbie, faisant au passage tomber un lustre qui éclatte violemment au milieu du salon. Saïmen, l'épaule en sang parce que Obbie lui a "tiré" dessus, réussit néanmoins à se protegoter des couverts fous qui ont blessés Scylla ET à les sauver tous les deux de la chute d'un sofa violent. Nero, qui a échappé de peu à l'attaque du vaisselier, se relève et constate que les effets du maléfice de jambencoton ont commencé à se dissiper, tout en faisant son calinero jaloux comme un poux. #MATURITÉ Il esquive de justesse l'attaque furieuse d'un fauteuil et transplane à côté des Lagides. Là il balance son poing dans la figure de Saïmen, et en profite pour kidnapper Scylla en lui arrachant au préalable le couteau qu'elle a dans l'épaule pour mieux la menacer avec. Ils font quelques pas en direction de la porte, sur laquelle il balance un confringo. Le sortilège fonctionne, mais n'a un effet que très limité. Vu que Saïmen est déstabilisé par le sort d'Obbie, le Rete Fulgurator cesse. Jones n'est pas moins en colère et a envie de manger tout le monde. Il évite le lustre qui tente de l'embrocher et tente de le renvoyer vers un des Mangemorts, mais sa baguette refuse de coopérer davantage pour l'instant. Un accès de fureur magique incontrôlé casse des carreaux des fenêtres : on se pèle, en plus, maintenant.
| Sujet: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe I | Nero Callaghan
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| Rechercher dans: Les fiefs Sang-pur Sujet: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe I Lun 5 Fév - 23:35 | « PUTAIN ! » Comme une percée au milieu du chaos, il l’avait tout de suite reconnue cette voix. Nul doute que l’entendre jurer de la sorte lui aurait arraché un grand rire franc et massif, si son expression favorite n’avait été teintée d’une telle douleur. D’un mouvement de tête vif, il quitta l’observation éberluée du vaisselier enragé qui avait failli l’écraser, lui et une mangemort. Ses yeux accrochèrent tout de suite l’éclat de métal fiché dans l’épaule de Scylla. Déjà saturé d’adrénaline par la mission, et l’impératif de retrouver Lizzie, Nero avait senti gronder en lui un nouvel élan de fureur, fait tout à la fois de colère, de peur, et disons-le clairement de bêtise. Aussi prestement que le permettait ses jambes, encore engourdies par le maléfice de l’autre garce, il se releva prêt à… à…à quoi au juste ? Parce que debout et gourd au milieu du ballet meurtrier du mobilier Kark, le sang-mêlé constatait le fiel aux lèvres que tout ce qu’il avait été prêt à faire, le Lagides l’avait accompli avant lui. Il sentit sa mâchoire se crisper, mais aucune phrase insidieuse n’eut le temps de brouiller son esprit, et de laisser éclore pleinement toute l’étendue de crasse jalousie. Pas parce que le Callaghan faisait soudainement preuve d’une certaine forme de maturité, non. Mais parce qu’un hideux fauteuil, fonçait droit vers lui à la vitesse d’un éclair de feu.
Dans un heureux réflexe de survie, il transplana pour esquiver le monstre de satin blanc, atterrissant dans un bang tonitruant à l’exact endroit qu’il avait fixé avec une telle intensité quelques battements cœurs plutôt. Une pluie de cristal assaillit l’ensemble des sorciers, mais Nero se ficha bien des entailles que les éclats produisirent sur sa peau. Non, le temps de quelques fractions secondes il fixa interdit le couple qui se trouvaient à un mètre de lui. Monsieur et Madame Lagides, parfaitement enlacé, mari et femme. Pris du même élan sauvage qui l’avait fait se relever, Nero éleva son poing pour l’abattre en plein dans la tempe de ce grand dadais de Saïmen Lagides. Il sentit la tête du sang-pur partirent en arrière sous l’impact, et quelque chose craquer sous ses doigts. Des mois qu’il en rêvait, des mois qu’il aspirait à casser la petite gueule du parfait petit mangemort. Un aveu qu’il ne se faisait que difficilement, tant il lui coûtait de se sentir jaloux de ce dégueuli de la culture mangemort. « Tu transmettras mes amitiés à ton grand-père, tête de gland ! » n’avait-il pu s’empêcher de cracher alors que son poing retombait le long de son corps, et que ses doigts cherchaient déjà à retrouver le contact rassurant de sa baguette. Sans réfléchir, puisque décidément ce n’était pas son fort, il se tourna vers Scylla et de sa main libre retira le couteau qu’elle avait planté dans l’épaule d’un mouvement sec et net. Sans perdre une seconde, il l’a fit se retourner, et enlaça sa taille pour la maintenir contre lui, tandis qu’avec la plus grande précaution du monde, il venait de rabattre la lame devant sa gorge. D’une voix à peine audible, il murmura pour que seul Scylla l’entende. « C’est moi. Fais-moi confiance. » Alors qu’une partie des regards de mangemorts étaient désormais tournés vers lui et sa tentative réussie de prise d’otage, il ajouta plus fort et avec sa politesse habituelle.
« Bon les creuvards, je vais vous expliquer comment ça va se passer. C’est simple, si vous ne voulez pas que votre jolie copine se vide de son sang et ne salisse sa belle robe, vous allez gentiment arrêter de nous péter les couilles, et nous laisser passer tranquillement. Je vous déconseille d’agiter vos baguettes. Sinon…. » Il fit mine de rapprocher un peu plus la lame de la gorge diaphane de la circassienne. Étrangement, ou peut-être pas tant que ça. Aucun meuble ne chercha à les attaquer tandis que Nero tentait de justifier d’une toute autre façon, ce qui n’avait été jusqu’ici qu’un excès de jalousie. Lentement et à reculons, entrainant toujours Scylla avec lui, il fit quelques pas en direction de la porte close, profitant de la proximité de l’oreille de la chuchoteuse pour lui murmurer. « Il y a du dictame dans la poche de mon pantalon. » D’un mouvement sec, il releva la tête, et s’évertua à dessiner dans l’air son sortilège préféré tout en maintenant le couteau en place. Sa pire crainte étant d’égorger Scylla dans la manœuvre. D’une voix bien moins assuré qu’il ne l’aurait voulu, il déglutit : « Confrigo ! » Le bois craqua sous l’effet du maléfice, mais tint bon. « Putain de Kark ! » cracha-t-il pour la cent millionième fois.
- Les dés du drama :
Fauteuil ou pas Fauteuil ? Oui : ET BAH FAUTEUIL ! Nero n’a pas le temps d’esquiver et se prend l’assaut du fauteuil, ce qui le projette contre le mur. Tout plein de bleus en perspective, et une côte cassée ! ALLEZ ça ne serait pas drôle un event en pouvant respirer normalement, sans que ça soit un supplice. Non : Holé ! Nero l’esquive en transplanant tout près de Monsieur et Madame Lagides. Inutile si Oui au premier dé. Attaque contre Saimen. Oui : Nero colle son poing dans la figue de Saimen. Mais il est plus chanceux que pépé, il n’a pas la mâchoire cassée, par contre il va avoir un joli cocard au niveau de l’œil gauche, et risque d’être un peu sonné. Non : Saimen esquive. AHAAH AH MALAISE ! Et cette porte, on se la défonce ? Oui/Oui : Le sortilège explose la porte libérant le passage. VICTOIRE Oui/Non: Le sortilège endommage la porte, mais pas assez pour l’ouvrir. Manque plus qu’un oui. Non/Oui : Le sortilège endommage la porte, mais des éclats de bois sont projetés vers Nero. Manque plus qu’un oui. Non/Non : Nero se prend un nouvel élément du mobilier, ce qui lui fait changer de cible. Il explose les fenêtres magiques à la place, moralité il y a des éclats de verre qui volent partout.
- Previously on drama land...:
Le mobilier attaque et Arutha est enfermé dans la salle des baguettes avec les deux PNJs Phénix. Hélios Kark rentre, à nouveau, à l'intérieur du salon. Il lance un everte statum à Obbie mais heureusement, ça touche une chaise qui s'écrase contre un mur (parce que Scylla a discrètement dérivé son sort). Toujours ivre, il ignore où est Arutha. Et ce n'est pas Scylla, entrée peu après lui, qui va l'aider. Elle est trop occupée à éviter qu'une chaise n'aille jouer au rodéo avec Saïmen, puis à empêcher un vaisselier de gerber ses assiettes sur Louisa (et surtout, sur Nero, mais chut). Sauf que son incarcerem n'a pas pris la totalité du meuble. Un tiroir à couverts fait fuser son argenterie. Scylla se prend un couteau dans l'épaule, fiché jusqu'à la garde et elle crie même « putain » tellement ça fait mal, connerie de merde ! Isilde envoie un Confringo qui endommage la porte, esquive de peu une table qui lui fonce dessus puis se ramasse par terre en voulant stupéfixer Obbie, faisant au passage tomber un lustre qui éclatte violemment au milieu du salon. Saïmen, l'épaule en sang parce que Obbie lui a "tiré" dessus, réussit néanmoins à se protegoter des couverts fous qui ont blessés Scylla ET à les sauver tous les deux de la chute d'un sofa violent. Nero, qui a échappé de peu à l'attaque du vaisselier, se relève et constate que les effets du maléfice de jambencoton ont commencé à se dissiper, tout en faisant son calinero jaloux comme un poux. #MATURITÉ Il esquive de justesse l'attaque furieuse d'un fauteuil et transplane à côté des Lagides. Là il balance son poing dans la figure de Saïmen, et en profite pour kidnapper Scylla en lui arrachant au préalable le couteau qu'elle a dans l'épaule pour mieux la menacer avec. Ils font quelques pas en direction de la porte, sur laquelle il balance un confringo. Le sortilège fonctionne, mais n'a un effet que très limité.
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