| Filet du Diable HAVE YOU SEEN THIS WIZARD ?  | | Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Ven 2 Fév - 21:54 Libera nos a malo DELIVRE-NOUS DU MAL❝ | Adem K. Wolf, Anastáz Hunter, Cássandre Hunter, James Windsor, Joy North, Victoria McKay, Zoltán Hunter |
Avalon, 12 février 2047, 20h05 Son visage s’était dépossédé de toute couleur. Pas une teinte n’aurait été à la mesure de la colère qui figeait ses traits. De glace jusqu’à l’explosion, Arutha Kark tendit un peu plus l’oreille pour ne rien manquer de ce qui était craché sur les ondes. « Même sa femme en a eu marre de lui ! On raconte qu’elle sirote des téquilas enjaillées au soleil en compagnie de ses admirateurs. – Il n’y a pas que les téquilas qui s’enjaillent si vous voulez notre avis ! » Ses ongles déchirèrent le revêtement de velours de son fauteuil dans un crack qui fit sursauter la domestique venue changer la bouteille de pur feu vide. Tremblante, elle déposa doucement la bouteille sur la petite table, intervertit le verre sale pour un propre et fila par la porte de service aussi rapidement que possible, ne connaissant que trop bien les coups de sangs fatals de son maître. « Mais laissons donc ce pauvre Arutha Kark tenter de se voiler la face pendant que le gouvernement dérape, encore une fois. - Elias Bonnephigur, Prêteur de la petite ville de Crêpevillette, a été arrêté dans la violence il y a deux jours. Officiellement, il est accusé d’avoir pioché dans les subventions données par le Ministère et l’argent se serait volatilisé, donc comprenez bien qu’on l’accuse de nous l’avoir donné. Officieusement, Elias a été arrêté parce qu’il a refusé d’imposer à ses concitoyens une nouvelle taxe destinée à reconstruire la Tour des Médias. C’est de sa poche qu’il a payé l’intégralité de cette taxe pour ne pas acculer les habitants de cette communauté et cet affront a été perçu comme un acte de rébellion. Chers amis, sachez que cet acte était seulement rempli de bonté et que c’est à cause de sa solidarité qu’Elias Bonnephigur est aujourd’hui enfermé à Azkaban… » La bouteille de pur feu toute vierge explosa et le liquide se répandit sur le tapis persan, assailli par la colère qui transpirait par tous les pores de la peau d’Arutha Kark, les tableaux vibraient contre les murs au rythme du dilatement de ses narines. « Ils ne savent pas ce qui les attend. Ils vont regretter d’avoir un jour osé siffler entre leurs bouches souillées le nom d’Arutha Kark. » *** Avalon, 13 février 2047, 9h15 Philibert Fanchon est dans la réserve du Trick'N'Truite. Son visage potelé affiche une moue contrariée, le nez frôlant le bout de parchemin qu'il a déroulé devant lui. Les stocks de Rêve Éveillé ne correspondent pas aux ventes du mois. Il souffle des deux narines en pensant à son employée engagée récemment, une petite sang-pur que le prêteur de Bourg-Palette, sa petite bourgade du Yorkshire, lui a demandé d'embaucher. Elle est bien gentille mais n'a pas inventé le fil à couper la patacitrouille, cette petite. Et maintenant, Philibert se demande si l'air benêt qu'elle affiche continuellement n'aurait pas un rapport avec ses potions disparues. « Papa ! » Matthew, son fils et héritier débarque dans la pièce comme si un hippocampe magique avait élu domicile dans son derrière. Il semble essoufflé, ses cheveux bruns sont ébouriffés et ses yeux brillent d'une lueur bizarre. Agacé, le commerçant relève la tête vers lui. « Ah bah, tu tombes bien ! Il manque des fioles de ... » Le jeune homme l'interrompt. « Papa ! Il faut que tu lises ça ! » Tandis qu'il se fraye un chemin entre les caissettes de la livraison du jour, Philibert remarque qu'il sert entre ses doigts le dernier exemplaire de la Gazette des Sorciers. Nouveau soupir. « Matthy, tu ne vois donc pas que je suis face à un problème beaucoup plus important que les nouvelles du jour ! » Indifférent à la rebuffade de son paternel, le garçon insiste, lui fourrant le journal par-dessus le rouleau de parchemin. La Une s'étale devant les verres épais des lunettes de Philibert. « Qu'est-ce que ...» Ses joues rebondies perdent soudain toute leur couleur rosée. Matthew, lui, ne semble pas s'en rendre compte. Au contraire, il paraît tout excité. « C'est dingue, pas vrai ? Quand ils ont annoncé leur retour, je pensais pas qu'ils oseraient faire un truc pareil ! Hein, papa ? » Philibert continue de fixer les petits caractères devant lui et les deux photos mouvantes. Sur la première, Arutha Kark, co-leader des Mangemorts, pose avec un petit sourire fier. Fier, certainement, de son annonce donnée en exclusivité à la Gazette. Sur l'autre, une femme. Une jeune femme. Bien qu'elle ne soit pas barbouillée de chocolat cette fois, il la reconnaît. Le basique est retourné à Avalon, en juin 2046. Sur la place de l'Ascension, avec les Détraqueurs, les statues géantes, les cris, le sang et la poussière. Oh oui, il y est ! Il la revoit le pousser sous un buffet pour le protéger de l'émeute. « Papa ? Papa, ça va ? » Il s'ébroue, reprend une mine neutre. « Oui oui ! Allez, reprend ça ! On a du boulot ! » Il secoue le parchemin et le journal tombe au sol, le titre de la Une accrochant le rayon d'une chandelle. « EXCLUSIF : ARUTHA KARK ANNONCE L'EXÉCUTION PROCHAINE DE LA TERRORISTE ET FILLE DE JANE CALLAGHAN »Non, décidément, ni le feutre ni le veston de Philibert Fanchon ne remettront jamais les pieds à Avalon. *** Avalon, 13 février 2047, 9h20 Une à une les portes se claquaient sur son passage, symptôme bien affiché d’une colère silencieuse. Calliope Kark, taillée dans la fureur et l’exaspération arpentait en maître les couloirs de son château. D’un revers de baguette, elle fit s’ouvrir l’ultime porte, et se défaisant tout à fait du calme et de la politesse qui la caractérisait cracha en un sifflement proche du fourchelang : « Idiot ! » Ses yeux renvoyaient à son frère les éclairs qu’il lui envoyait. D’un sort, elle envoya paître sur le bureau d’Arutha Kark l’exemplaire de la gazette du sorcier « Ça Arutha, ce que tu as fait, c’est exactement ce pourquoi père n’était pas prêt à faire de toi son héritier. » Un coup bas. Le seul qu’il méritait à son sens pour s’être arrogé le droit de décider seul du sort d’Elizabeth O’Meara. Après trois mois de cohabitation tendue, l’héritier sur la sellette venait de franchir un Rubicon aux allures de Styx. L’ancienne poufsouffle vit les jointures de son frère palir alors que ses doigts se fronçaient un peu plus sur sa baguette. « Retire-ce que tu viens de dire.» tonna-t-il. « Non, ce que tu as fait, en plus d’être une trahison, est stupide et dangereux. Tu n’as absolument pas pensé aux conséquences, ni aux ris… » Un petit rire sec et nerveux la coupa, alors que le pacificateur se levait pour mieux toiser de toute sa hauteur celle qui ne serait à jamais que petite sœur . « Je n’ai pas peur des phénix. Ta crainte des représailles nous conduit tout droit à notre perte, il faut les écraser en.. » « En perdant l’un de nos seuls moyens de pression ? » siffla une Calliope qui soutenait toujours plus haut les regards dédaigneux de son frère. « Nous n’avons pas besoin de moyen de pression. On ne parlemente pas avec la vermine, on l’élimine. Nous avons tiré tout ce que nous pouvions de la Callaghan, elle n’a rien à dire. Son exécution aura au moins utilité, celle d’envoyer un message clair aux terroristes. « Quoi donc comme message, Arutha ? Celui qu’ils peuvent tuer Wilfric Mulciber ?» avait-elle presque crié. Les lèvres du sang-pur se pincèrent en une douloureuse crispation. Il n’y avait pas pensé. Calliope non plus, aveuglée par la fureur de la trahison, n’avait pas envisagé ce problème sous cet angle avant qu’Harmakhis ne s’empresse de pointer de la baguette ce problème épineux. « Je refuse d’être associée à ce fiasco Arutha. Ta stupide décision n’est ni celle du ministère, ni celle des mangemorts. « Si. C’est ma décision, et par extension, celle des mangemorts. Wilfric n’a rien à craindre, c’est une mine d’informations qu’ils ne sont pas prêts de lâcher de sitôt, et nous le libérerons bien assez vite. Je n’ai pas besoin de toi, ou de tes petites opinions Calliope. Pas besoin d’une mère angoissée, tout juste bonne à organiser des mondanités. Si j’ai besoin d’organiser une fête, je te sifflerai. » Une lueur mauvaise traversa son regard agité alors que déjà ses lèvres s’étiraient en un sourire goguenard. Il venait d’avoir une idée. « Mais même pour ça je n’aurais pas besoin de toi. Je vais faire de l’exécution de cette terroriste une fête. Quelque chose de mémorable, mais en ça je te dépasserai. Alors ne fais rien, Calliope, désengage-toi. C’est la chose la plus raisonnable que tu puisses faire, que tu aurais dû faire. De toute façon, je ne te laisse pas le choix. » La Kark inspira bruyamment, douloureusement, pour tenter de faire refluer la vague de fureur qui noyait son flegme légendaire. À court de mots, comme tout Kark perclus de colère, elle ne voyait son salut que dans un sursaut de baguette. Dans un ultime acte d’abnégation, elle expira, tout en contenant la haine qui montait à ses lèvres. Non, elle n’avait pas le choix. Désavouer publiquement Arutha, elle ne pouvait s’y résoudre. Diviser les mangemorts était une folie qu’elle ne pouvait se permettre. Quant à faire annuler l’exécution, impossible. Maintenant que l’annonce publique avait été faite, reculer aurait été faire preuve de faiblesse. Comme bien souvent, elle accepta l’offense, s’arma de la détermination qui l’avait fait entrer chez les Poufsouffles pour voir plus loin, réparer les dégâts. Elle irait sauver Wilfric Mulciber, empêcherait son frère d’encore une fois, tout ruiner. *** Vivecime, 13 février 2047, 19H35 La salle est remplie d'une rumeur intense, laquelle s'est, à mesure des minutes, transformée en un brouhaha indistinct. On s'entretient en duo, en trio ou en groupes. Certains tons se veulent calmes ou pragmatiques, tandis que d'autres sont beaucoup plus virulents. Jane Callaghan observe les hommes et les femmes présents d'une œillade impénétrable, s'attardant sur les visages qu'elle connait le mieux. Obbie Kantaro, entouré de Bruce Blackburn et de Scarlett Fuller, que Zakary Cooper tente, tant bien que mal, de ramener à la raison quand les deux premiers se persuadent qu'une bonne détonation serait la réponse à tous leurs problèmes. Son regard dérive vers un autre groupe. Le Conseil d'Oliver Durham a été invité pour l'occasion et ses membres déchus semblent aussi déplacés qu'indifférents à l'effervescence générale. La leader Phénix s'estime déjà « heureuse » qu'ils aient pris la peine de se déplacer jusqu'ici, quand on sait la décision qu'elle a prise près de trois mois plus tôt. Il en va de même pour le duo quelque peu en retrait. Charlotte et Henry Windsor affichent la mine impassible héritée de leur jeunesse royale que même quinze ans d'errance ne sont pas parvenus à ternir. Impossible de déchiffrer leurs pensées. Une main se pose sur son épaule, la rappelant à son devoir. « Tout le monde est là. » l'informe Elfrida Bibine. En tant que gardienne de Vivecime et alliée de toujours, Jane aurait difficilement pu se passer de sa présence. Qu'elle trouve presque réconfortante en cet instant. Elle acquiesce. Un simple raclement de gorge de sa part et les conversations cessent. « Je pense que vous savez tous pourquoi je vous ai demandé de venir. Un de nos alliés à pu nous faire parvenir un exemplaire de la Gazette d'aujourd'hui. Nous avons donc appris qu'Arutha Kark comptait faire exécuter Lizzie sur la place de l'Ascension dans quelques jours. Aussi, il nous faut décider quelle action nous allons mettre en oeuvre afin de l'empêcher. Avant d'élaborer un plan, si vous avez des suggestions, je vous prie de m’en faire part. » Le débit de sa voix est atone, comme si prononcer chaque syllabe lui coûtait un effort presque surhumain. Plus les semaines passent et plus garder la tête froide, séparer son instinct de mère et son statut de cheffe devient difficile. Elle voit Obbie qui va pour parler. Interrompu par un lourd accent écossais. « J'en ai une. Ne rien faire. » Un silence glacial s'abat sur l'assemblée, tous les regards se tournant vers le moldu qui a prononcé ces deux phrases. L'ancien bras droit de Durham, Tomas McFadden. « Il a dit quoi le bouffeur de haggis ? » Scarlett, outrée, le dévisage avec morgue. Quant à Obbie, il paraît prêt à lui sauter sur l'échine. Mais Tomas ne se démonte pas. « Préparer une mission pour sauver un seul de vôtres, quand des dizaines d'autres pourraient y rester, qu'y aurait-il de sensé là-dedans ? Je comprends que pour vous, ce choix puisse paraître impossible, pourtant, il faut l'envisager. Une vie pour tant d'autres. Cela en vaut-il seulement la peine ? » Le visage de Bruce Blackburn a viré au cramoisi. « Je vais te montrer la valeur des gens à grands coups de savates, tu vas voir. » Restée silencieuse, la Callaghan lève alors la main, intimant le calme. « McFadden, permettez-moi une question à mon tour. Si cela avait été Oliver à la place de Lizzie, qu'auriez-vous fait ? » Soudain, l'écossais semble se dégonfler quelque peu. « La question n'est pas là, Madame Callaghan. Nous parlons d'une ... » « Nous parlons de ma fille, McFadden ! Nous parlons de l'une de nos enfants, de l'avenir de notre cause ! Nous parlons de rester là, à attendre, pendant qu'un Feudeymon la brûle vive sur un bûcher, devant une foule gangrénée par un demi-siècle de dictature, d'inégalités et d'inaction ! Nous parlons de laisser le champ libre à la progéniture dégénérée de Kark au nom de votre peur, McFadden ! C'est donc cela que vous voulez ? Laisser à la société penser que nous avons trop peur pour intervenir ? » Silence de mort face à l'embrasement soudain de la normalement, si pragmatique et calme Jane Callaghan. Même ses pupilles luisent d'un feu qu'elle refuse de voir consumer Lizzie. Ou n'importe lequel de ses alliés, d’ailleurs. Elle refuse que la cruauté l’emporte. Tomas ne réplique pas. En revanche, Henry Windsor le relaie placidement « La place sera probablement plus que sécurisée. A quoi pensiez-vous ? » L'Irlandaise inspire, les yeux brillants. « A un autre angle d'attaque. Scarlett ? » La concernée rejoint la leader Phénix, renversant une besace sans fond sur la table. Plusieurs rouleaux de parchemins tombent sur le bois, l'un d'eux se déroulant pour révéler son contenu à l'assistance. Des plans. Ceux du Château Kark. « Il paraît que cette petite pine d'Arutha a prévu une petite sauterie pré-barbecue. Alors mettez vos plus beaux costumes les gars, on part jouer les pique-assiettes ! » *** Avalon, 16 février 2047, 19H00 Jamais la salle de bal ne lui a paru si grande, si inspirante, si fastueuse que ce soir. D'un point de vue tout à fait objectif, Arutha Kark peut affirmer qu'il a rendu honneur à son père avec son idée brillante ! Peut-être même l'a-t-il surpassé ! Car le tout n'était pas de se débarrasser du parasite Callaghan en grande pompe devant une assemblée pendue à la balance de Dame Justice. Non, il voulait également que sa faction, son héritage légitime et celui de son fils, puisse fêter dignement les préquelles d'une des plus belles victoires de leur camp. Que les Mangemorts comprennent quel excellent leader il ferait. Seul. « Tout est prêt, Monsieur Kark. » Déférente, Louisa se présente devant lui la tête baissée. La cheffe du personnel a tout organisé seule, cette idiote de Calliope ayant refusé de faire la seule chose qu'elle maîtrise un tant soit peu dans son son insignifiante existence. Où peut-elle bien être, ce soir ? Il l'ignore et à dire vrai, il s'en moque. Sa soeur n'aurait pas le cran de venir gâcher sa réception, aussi considère-t-il que son absence ne peut que lui être préjudiciable à elle, tandis que sa popularité à lui ne fera que croître. « Bien. Qu'on ouvre les portes, dans ce cas. » Et il se détourne, sans un regard ni même l'esquisse d'un remerciement. Elle n'est qu'une basique et lui, il est l'héritier de Mervyn Kark. Ce soir, il attirera cette lumière qu'il a plus que mérité. *** Ecosse, 16 février 2047, 22H46 « Nous y sommes presque. » La voix d'Harmakhis résonne faiblement dans le murmure de la forêt. Si l'île paraît déserte, chacun ci-présent sait que c'est loin d'être une réalité. A moins d'un kilomètre de là, les terroristes se terrent, veillent sur le précieux trésor qu'ils ont réussi à ravir en novembre. Wilfric Mulciber. Et qui risque de perdre considérablement en valeur à cause du fils inconséquent de feu son ami. Quelque chose lui frôle le pied. Un rayon de lune accroche le reflet d'une ligne d'écailles. Il l'ignore, fixé sur son objectif, son regard dérivant juste un instant sur Calliope. « Prête ? » Un hochement de tête déterminé lui répond. La troupe continue son ascension vers la grotte. Vers la libération. *** Quelque part, 16 février 2047, 22H50 Des respirations hachées au souffle court. « C'est bon ? Tu l'as ? » On lui réplique d'un grognement. « Mais grouille, putain ! » « Oh ! Et ! Je fais ce que je peux ! T'es bien mignon mais voilà hein, désactiver ce genre de runes, c'est pas comme éviter de mettre son pied dans un piège à loup, hein ! Bon ! Hein, voilà ! » « Bordel mais parle moins fort, Joe ! » « C'est toi qui me fous sur les nerfs, Mo ! » Les deux Phénix se taisent, boudeurs. Quelques instant plus tard, une lumière bleuté filtre du sol avant de s'éteindre tout à fait. « C'est bon, je l'ai eu, Mo ! » Ils exultent. Pourtant, ce n'est que le début. Les prémices de la bataille. « Bravo, Joe ! Je préviens les autres ! » Le signal est envoyé. Ca y est, ils vont pouvoir entrer. *** Château Kark , 16 février 2047, 23H07 Chargé de ses deux plateaux, Podrick se dépêche de traverser le hall d’entrée en direction de la salle de bal. Si les petits-fours viennent à manquer, cela risquerait de lui retomber dessus et vraiment, Podrick n’a pas envie de retourner dans les quartiers négriers d’Ajay Shafiq. Sauf qu’il a à peine atteint la moitié du hall qu’un bruit lui fait tourner la tête vers les portes. L’instant d’après, il se retrouve nez-à-nez avec un visage. Masqué. Il y en a même plusieurs. Les plateaux s’écrasent et sans réfléchir, le voilà qui se met à courir. Il lui semble qu’un éclair de lumière le frôle mais il n’en est pas certain. Il est obligé de ralentir dans la salle de bal. Ses yeux cherchent. Trouvent. « Maître Kark … » Arutha est contraint de délaisser ses très purs interlocuteurs. Interrompu par une vermine. L’avada n’est pas loin, tout dans son regard le dit. « … Le Château. Le Château est attaqué ! » Et Podrick s’affaisse, en proie à un violent malaise. A l’image de celui qui envahit bientôt l’assemblée : on écarquille grand les yeux tandis que la nouvelle se répand. Telle une traînée de poudre. L’ÉQUIPE DE FILET DU DIABLE |
| Filet du Diable HAVE YOU SEEN THIS WIZARD ? | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Ven 2 Fév - 21:54 Règles ❝ | Une aube rouge se lève, beaucoup de sang a dû couler cette nuit… SBAFF ! Laissons l’elfe platine a ses observations sinistres, et inaugurons dans la joie et l’hémoglobine ce premier event de la saison 2. Mais avant de s’entretuer, il convient de se remémorer quelques règles, et d’en découvrir de nouvelles ! |
Les attaques : ϟ Vous n’avez droit qu’à 1 attaque par rp. Par attaque on veut dire, sort offensif, coup de pied ou autre, potions ou usage d’artefacts pouvant nuire à vos ennemis. Et par nuire, on n’entend pas seulement le blesser mais également le bloquer dans son avancée. ϟ L’usage des sorts défensifs est interdit. Pourquoi ? Cela ralentit le jeu et n’apporte pas grand-chose. Toutefois lorsque votre ennemi n’a pas de chance avec le dé et que le sort n’atteint pas sa cible, vous pouvez tout à faire dire que votre personnage a lancé un protego au bon moment pour contrer le sort. ϟ Pour chaque action offensive lancée, vous devez vous servir du dé. Mais pas forcément pour dire si elle fonctionne ou non. Vous êtes libre d’adapter ces lancers comme bon vous semble. Cela dit, si dans chaque proposition de dé vous vous retrouvez gagnant, et ce à chaque tour, nous sommes en droit de vous demander de changer. Ce système ne peut fonctionner que si tout le monde fait preuve de fair-play. Nous vous rappelons que l'usage d'une potion autre qu'une potion de soin est une action offensive. ϟ Quant aux sorts accessoires, tels que « Accio », « Lumos », ou encore « Nox », ils ne sont pas réglementés. Vous pouvez en utiliser autant que vous voulez, sans avoir à lancer le dé. Mais attention, un sort accessoire ne doit en aucun cas être détourné en sort offensif. Créer un éboulement pour bloquer le passage à vos ennemis, c’est une attaque. Un sort accessoire ne doit pas être un moyen pour les grosbills de lancer plusieurs attaques par tour.ϟ En ce qui concerne les sorts de soin, le dé est également obligatoire, et déterminera la réussite du sort ou non. Là encore, le bon sens est de rigueur. Ce n’est pas parce que les dés sont gentils avec vous que votre personnage inculte en matière de médicomagie pourra se guérir entièrement. Cette règle ne s’applique pas aux médicomages titulaires, ainsi qu'aux potions de soin qui peuvent être utilisées sans lancer de dé.ϟ Petit rappel : vous n’avez pas le droit d’acculer complètement votre adversaire dès le début de l’event. Qu’entendons-nous par acculer ? Et bien, par exemple, c’est lui prendre sa baguette et la briser en mille morceaux. Cela paralyse complètement le joueur ! Acculer, c’est aussi le laisser pour mort dans une mare de sang. Comment voulez-vous qu’un personnage agonisant puisse continuer l’event dans cette situation ? Vous êtes libres de vos actes, tant que ces derniers n’entravent pas trop la liberté de vos camarades de rp. On ne vous dit pas de vous faire des bisous, ni qu’à la fin de l'event il faille que le plus gros bobo soit une entorse et un gros bleu à la fesse droite ! Non, on vous dit seulement d’attendre les derniers tours de l’event pour mettre vraiment K.O vos adversaires. Commencez doucement pour pouvoir mieux terminer en beauté ! ϟ N’oubliez pas que la magie noire ne s’utilise pas comme un petrificus totalus. Elle est difficilement contrôlable, peut se retourner contre son lanceur et, surtout, laisse des séquelles à vie. Alors réfléchissez avant de lancer un feudeymon pour tuer tout le monde. Le sectumsempra est quant à lui interdit. Contribuer au bon déroulement de l’event ϟ N’oubliez pas de faire un résumé de vos actions à chaque fin de post ! Pour rappel : en plus de vous encourager à faire court, nous vous demandons d'inclure, à la fin de chacun de vos rp, la liste des actions de votre personnage. Si certains membres ont posté avant vous, il faudra également reprendre leurs listes et “ intercaler” vos actions entre celles des autres personnages, afin d’avoir un résumé global de toutes les actions qui se sont déroulées dans ce tour, par qui et dans quel ordre. ϟ Chaque rp de votre PNJ sera suivi d’un message explicatifvous donnant des indications sur la marche à suivre, posant ou levant des limites à vos personnages. Merci de lire attentivement ces messages, pour bien prendre connaissance des informations qu’ils recèlent. Si ces dernières s’avéraient ne pas être claires, rappelez-vous que vous pouvez poser vos questions dans ce sujet. ϟ Prenez bien le temps de tout lire avant de vous ruer pour poster votre rp, afin d’éviter les erreurs et l’intervention des admins pour les corriger. Un event demande au staff une surcharge de travail considérable, nous vous appelons donc tous à faire preuve de modération et de réflexion afin que l’animation puisse se dérouler correctement.
Vous êtes tous bien accrochés à vos claviers ? Let’s go !
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| Jane Callaghan HAVE YOU SEEN THIS WIZARD ? | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Ven 2 Fév - 22:28 « Premier tour »
J. Callaghan, H. Windsor & H. Travers Si les manches de sa cape n’avaient pas recouvert ses mains, Jane aurait pu offrir toute l’ampleur de sa tension à Henry Windsor : ses phalanges étaient d’un blanc jaunâtre tant elle serrait sa baguette. S’ils s’étaient trompés, cette attaque ne ferait qu’attiser les flammes du lendemain. S’ils s’étaient trompés, Jane savait qu’elle ne reverrait jamais Lizzie. Un bruit mécanique lui indiqua que l’arme de son allié était prête à entrer en action. « À votre signal. » La tension entre eux aussi était palpable mais tous savaient que les rivalités entre leurs deux camps ne devaient pas entre en ligne de compte ce soir, sous peine de tout faire foirer. Les moldus auraient de toute manière besoin d’eux pour le repli. Aucun disfonctionnement ne pouvait être envisagé. « Maintenant. » Henry tendit un bras ferme vers le chaudron de poche que Jane sortit de sa cape. Jane avait un pied dans une baignoire, l’autre sur un sol en marbre. La salle de bain d’Elena Kark, fastueuse, propre, et froide comme la mort. « N’oubliez pas : on doit faire au plus vite ! » Elle ouvrit la première porte qui donnait sur un dressing. « C’est par là. » Une chance sur deux. « Je peux vous assurer que non. » D’un coup de baguette, le mur du fond du dressing s’ouvrit en deux, laissant une brèche suffisamment grande pour les laisser passer. Henry ne broncha pas. Le plan était simple : commencer par les pièces non sécurisées pour éviter d’alerter les gens autour, et après… ¤¤¤« Vous, suivez-moi ! » Sans même laisser le temps aux trois jeunes les plus proches d’elle de réagir, Hayley Travers les embarquait. Elle n’avait même pas cherché à attendre les ordres d’Arutha Kark : elle savait ce que Calliope aurait attendu d’elle. Il était hors de question que la mémoire du grand Mervyn Kark soit souillée. « Réactivité et efficacité. Sans états d’âme. C’est tout ce que vous devez retenir. » Elle courait déjà dans le hall, vers le grand escalier central qui menait au premier étage. « AVADA KEDAVRA ! » Le sortilège frôla une silhouette cagoulée qui répliqua immédiatement d’un sort que Travers para sans difficulté. Un instant plus tard, la silhouette était au sol, inerte. « Grimpez ! » D’un nouveau mouvement, elle envoya valser une autre silhouette qui tentait de les suivre. ¤¤¤Ils étaient divisés en deux groupes : un dans le Cabinet des Pensines, l’autre qui s’assurait que la cavalerie n’arrivait pas. Jane avait laissé Victoria et James monter la garde : il fallait qu’elle fasse vite pour récupérer les souvenirs qui semblaient les plus utiles. Elle tendit son havre-sac à Joy : « Tiens-le bien quoi qu’il arrive. » Il n’y avait plus qu’à le remplir. «Informations» Contexte général ϟ Mangemorts : Vous étiez tranquilles à assister à la petite sauterie organisée en l'honneur de l'exécution prochaine de Lizzie O'Meara quand TOUT A COUUUUP, des intrus se sont mêlés à la fête  Le trio Hunter est réquisitionné par Hayley Travers afin de s’occuper de préserver les biens de Mervyn Kark : elle n’était pas sa plus fidèle partisane pour rien. Hayley couvre les Hunter le temps de la montée des escaliers. ϟ Phénix et Nouvelle Inquisition : Pour le moment, les Phénix et la NI font une razzia sur les souvenirs de Mervyn en remplissant le sac confié à Joy par Jane. Victoria et James surveille l’entrée. Les souvenirs à portée de main sont évidemment peu compromettants mais tout est bon à prendre. Les affrontements peuvent commencer, gardez en tête que Victoria et James sont ceux en première ligne. Organisation spatiale ϟ Pour plus de clarté, voici d'où vient le groupe de Travers, c'est-à-dire du rez-de-chaussée. Désormais, vous êtes tous au 1er étage ! ϟ Les Mangemorts sont vers les escaliers. Les Phénix et la NI du côté du Cabinet des Pensines. Vous êtes donc bien proches  Équipement et autres modalités : ϟ Pour les Phénix ou les NI prétendant encore être d’honnêtes citoyens (traîîîtres !) : n’oubliez pas de prévoir quelque-chose pour vous dissimuler le visage une fois le signal lancé ou une fiole de polynectar  ϟ Tous les moldus sont équipés d'une cagoule, d'un pistolet avec 6 balles chacun, d'un couteau, et d’une potion explosive ou aveuglante. ϟ N’oubliez pas de nous prévenir si jamais vous ne pouvez pas poster durant le tour en cours ou si vous pensez poster en toute fin de tour : ce sont des informations qui nous sont nécessaires pour nous organiser. Ce qui se passe dans votre groupe : ϟ Keskonfé ? Victoria et James vont devoir rapidement donner l'alerte à leurs copains qui pillent le Cabinet des Pensines parce que l’armada de Travers débarque  ϟ Vos PNJs Jane Callaghan est la leader de l’Ordre du Phénix. Connue pour son pragmatisme et son calme en temps de crise, elle est une adversaire redoutable, surtout aujourd’hui où la vie de sa fille dépend de cette attaque. Henry Windsor est l’oncle de Charlotte Windsor, héritière de la couronne britannique. La vie lui a appris à être sans pitié face à ses ennemis. Hayley Travers est l’un des meilleurs soldats de Mervyn Kark. Chargée de la protection du Ministre depuis des décennies, mieux vaut ne pas se trouver sur son chemin lorsqu’elle a sa baguette en main. Tireuse d’élite talentueuse, elle a formé les meilleurs éléments de la nouvelle génération. Les rebelles sont ce qu’elle déteste le plus au monde : un traître à son sang ou son pays ne mérite que la mort à ses yeux Pour toucher un PNJ, il vous faut un double oui. Pour ce premier tour, vous ne pouvez pas infliger de dommages irréversibles ou trop handicapants à vos PNJs (un bobo, oui, l’agonie, non). ϟ Résumé Victoria et James guette l'étage tandis que les autres dévalisent le Cabinet des Pensines. Hayley Travers suit les Hunter qui grimpent les marches vers l'étage. ϟ Fin du tour Ce tour se terminera dimanche 4 février 2018 à 19h. |
| | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Sam 3 Fév - 12:25 "Gondolod hogy még mindig el tudjuk hinni, hogy nem beszélünk angolul?"*Je ne sais pas ce qui était le pire, la soirée des Kark, le fait que Theresa m'en voulait d'être venu ou l'évènement surprise qui venait de commencer. Qui avait pour conséquence de devoir finir nos boissons sur l'instant si nous ne voulions pas les abandonner. Ce qui aurait été sacrément dommage, parce que si les Karks étaient de bons connards sans intérêt, leurs alcools valaient le détour au moins! La Travers, je la connaissais de loin depuis que j'avais rejoint les Mangemorts, et par le biais de Zol' qui avait combattu à ses côtés. Et pourtant..Pendant quelques secondes de flottement entre le avant et le apres le stress était monté d'un coup, surtout avec Zoltán et Cássandre à côté. Aucune idée de ce qu'il se passait, mais vu l'urgence dans la voix de la Mangemort autoritaire et le commentaire blasé de Zol' en passant " Ah non..pas elle..", ma réplique comico-comique était sortie toute seule, arrachant un sourire à mes deux comparses même si nous avions d'ores et déja emboîté le pas à la sorcière. Tant pis pour le blond que Cássandre avait repéré... Un manoir comme ça surtout avec ce genre de soirée complètement provocante, avait forcément de quoi en assurer la sécurité, non? On allait juste fignoler quelques détails de plus, rien de bien important. On serait vite revenus, non? "Yes, M'dame !" répliquais-je aux ordres de la fonctionnaire, non sans lancer un grand sourire à Zol et Cáss'. "On commençait justement à s'ennuyer, ez jó!*" Pour lui emboîter le pas de course, baguette à la main. Et voir filer à un Avada. Ah ouai quand même. Le filet vert était sacrément brillant..Je..Devant? Vraiment? C'était pas son taff à elle? Par les couilles de Merlin, c'était pas cool ça! "Sérieusement? Elle nous balance en première ligne?"Pinçant les lèvres, je m’exécutais malgré tout, la famille sur les talons, gravissant les marches avec un entrain déjà bien réfréné. L'envie de me faire raccourcir les boucles ne me disait rien.. "Pousstoadla!"Premier truc qui m'était venu à l'esprit en apercevant les silhouettes un peu plus loin, à la sortie de l'escalier. La force de l'utilisation sûrement... Mais clairement pas le truc le plus utile face à de vrais gens récalcitrant. Même si l'homme qui venait de se prendre mon sortilège recula de quelques pas, légèrement déséquilibré. Bon bah, c'était déja ça non? C'était pas mon taff à moi ces trucs! S'ils étaient que deux et aussi peu réactifs, ça devrait le faire. Ptet juste de simples cambrioleurs à la con qui c'étaient dit que les dignes sorciers de la société seraient trop occupés à se bourrer à la soirée? ------------ Traduction hongrois: Gondolod hogy még mindig el tudjuk hinni, hogy nem beszélünk angolul?* --> "Vous croyez qu'on peut encore faire genre qu'on ne cause pas du tout anglais?" ez jó*--> Ca tombe bien! - Les dés:
Lançage d'un Pousstoadla de la mort qui tue!
oui oui ---- Sous le stress et l'adrénaline le sort est un plus violent qu'à la normal, la victime percute le mur le plus proche et SURTOUT se fait mal sur un bibelot qui y était accroché!
oui non / non oui --- le sort repousse la victime qui est légèrement déséquilibrée.
non non --- le sort repousse la cible...d'un pas. Wouhou o/
Sur qui?
oui - Victoria
non - James
Sortilège Pousstoadla:
Un sort qui permet simplement de faire de la place devant soi en poussant sur les côtés ce qui pourrait gêner: fringues sales, vaisselles, documents ou personnes. Utilisable uniquement sur quelques mètres devant le lanceur, le sortilège crée ainsi une sorte de chemin pour avancer.
En général, utiliser ce sort sur des gens devant soi ne leur fera pas de mal, ils sont fermement mais doucement repoussés sur les côtés. Mais on est jamais à l’abri d'un maladroit qui trébuche ou d'un objet gênant en chemin (caillou, jouet, mur..). La colère du lanceur peut aussi pousser ce qu'il y a devant lui de manière plus brusque.
- Résumé:
* Victoria et James guettent l'étage tandis que les autres dévalisent le Cabinet des Pensines. Hayley Travers suit les Hunter qui grimpent les marches vers l'étage
* Anastáz tente de faire un peu d'humour, suit la Travers avec la famille sur les talons et lance un Pousstoadla sur James qui recule de quelques pas et est légèrement déséquilibré.
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| Filet du Diable HAVE YOU SEEN THIS WIZARD ? | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Sam 3 Fév - 12:25 Le membre ' Anastáz Hunter' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
#1 'Lancer de dé ' :   -------------------------------- #2 'Lancer de dé ' : |
| | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Sam 3 Fév - 23:40 « Ah non... pas elle ! »Au cas où vous vous posez sérieusement la question, la réponse est oui ; elle désigne bien Hayley Travers. Ou la seule raison pour laquelle je n'empoigne pas mon frangin de la main gauche et ma soeurette de la main droite pour nous tirer tous les trois d'ici. On était venus pour boire, bouffer des petits fours et se moquer allègrement de Seigneur Kark et ses crétins d'invités. Pas se battre ! Et encore moins défendre son château moisi ! En vérité je serais même plus enclin à ouvrir les portes aux intrus et à leur indiquer la direction de la chambre forte qu'à verser une goutte de sang pour cette famille de connards. Mais le bouledogue de feu Kark semble vraiment y tenir et sans aller jusqu'à dire qu'elle me fait peur - ce qui n'est pas DU TOUT le cas, soyons clairs ! - je sens le coup fourré venir si on tente de lui désobéir.... ou de jouer aux cons qui ne comprennent pas. Par contre, rien ne nous empêche - encore - de montrer notre désaccord et notre mécontentement. « Az angol megértése nem kényszerít bennünket hogy beszéljünk * » je rétorque à Nas avec un sourire mauvais. Et la voilà qui nous pousse dans les escaliers en première ligne. Nous ! La jeunesse sur laquelle repose les espoirs de demain ! Sacrifiés comme de vulgaires cibles à doloris ! Sérieusement, on peut pas changer de meneuse ? Mais mon buta de jumeau grimpe déjà les marches deux par deux. Par les burnes de Merlin ! Je m'élance derrière lui après avoir lancé en direction de la Travers un amer et très compréhensiblement anglais : « Waw ! Quel sens du leadership ! »Nous voilà au premier étage face à deux silhouettes cagoulées qui semblent garder l'entrée derrière eux. Pendant que leurs acolytes vident les lieux ? Tsss. J'aurais presque envie de les aider tiens ! Mais puisque Toutou Travers insiste tant... « Hey ! Vous faites du nettoyage ? Je peux vous aider un peu ? Recurvite ! »____________ * " Comprendre l'anglais ne nous oblige pas à le parler ! " - Nettoyer, balayeeeeer.... :
Oui-Oui : Victoria se retrouve violemment frictionnée, mouillée et avec du savon plein la bouche (un peu comme si elle était passée au lavage auto )
Oui-Non : Victoria se retrouve un peu secouée, mouillée, avec un petit goût de savon dans la bouche.
Non-Oui : Le sortilège ricoche sur un protégo et nettoie le sol. C'est bien poli et ça risque de glisser
Non-Non : Et hop ! Récurage du mur derrière Victoria.
- Résumé:
* Victoria et James guettent l'étage tandis que les autres dévalisent le Cabinet des Pensines. Hayley Travers suit les Hunter qui grimpent les marches vers l'étage
* Anastáz tente de faire un peu d'humour, suit la Travers avec la famille sur les talons et lance un Pousstoadla sur James qui recule de quelques pas et est légèrement déséquilibré.
* Zoltan fait la gueule parce qu'il a pas duuuuu tout envie de se battre pour défendre le château Kark. Il suit quand-même son frère à l'étage et lance un recurvite sur Victoria qui la frictionne violemment, la mouille et la recouvre de savon.
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| Filet du Diable HAVE YOU SEEN THIS WIZARD ? | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Sam 3 Fév - 23:40 Le membre ' Zoltán Hunter' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Lancer de dé ' : |
| James Windsor HAVE YOU SEEN THIS WIZARD ? | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Sam 3 Fév - 23:46 Alors qu’il s’empare du chaudron magique faisant office de Portoloin, James croise le regard de son cousin, impassible. Avec le temps, et surtout à force de voir son propre père avec cette expression, James a appris à lire entre les traits et expressions du visage d’Henry. Mais au lieu d’un mot ou d’une phrase bienveillante, il se contente d’un regard entendu et complice, tous deux conscients que s’ils ne veulent pas plus coopérer avec la Callaghan, ils n’ont pas forcément le choix. Ses pensées s’attardent un instant sur le reste de sa famille – comment a-t-il réussi à empêcher Nathaniel de le suivre reste un mystère. Au moins cette fois il n’aura pas à lui courir après comme on court après un enfant de cinq ans – et sur Charlotte, dans un autre groupe que le leur.
L’atterrissage dans la salle de bain se passe sans accroc sur le sol en marbre. Etrangement, se retrouver dans autant de luxe dans cette bâtisse fait remonter bien des souvenirs au Windsor, presque dix-sept ans après qu’il n’ait pas mis les pieds dans un château similaire. Mais l’heure n’est clairement pas à la visite. James se contente alors de mettre sa cagoule et d’enlever la sécurité de son arme, prêt à en découdre, les sens en alerte, alors qu’Henry et la Callaghan argumentent rapidement sur le chemin à prendre.
Ils sont alors séparés en deux groupes : James avec la sorcière pour monter la garde tandis que la jeune moldue était réquisitionnée pour le pillage des souvenirs de l’homme que Charlotte a exécuté en octobre avec Adem, la Callaghan et Henry. James n’avait pas eu besoin de beaucoup discuter avec la McKay pour connaître la marche à suivre et surtout se mettre d’accord. Il allait, cependant, prononcer quelques mots lorsque des pas rapides se font entendre dans les escaliers. Sa mâchoire se serre. Déjà démasqués ? Le Windsor est sur ses gardes, prêt à répliquer lorsqu’un sort le vise et le touche. Il recule de quelques pas à cause du sort et est déséquilibré, sans pour autant le faire trébucher ou mal, quelques instants. Assez pour voir le visage du sorcier responsable de ce sort qu’il suppose raté. Assez pour se rendre compte qu’en première ligne se trouve des enfants. Enfants du même âge ou à peine plus vieux que Nathaniel. Son cœur rate un battement alors que la silhouette de son aîné s’impose devant lui, rétorquant un « s’ils prennent part à cette guerre, alors moi aussi » plein de défi. James retrouve cependant ses esprits à temps, coinçant sa réplique dans sa gorge. Face à des sorciers, même enfants, et surtout avec seulement six balles dans son pistolet – seule arme utile pour l’instant – il ne peut rien faire. « Je vais aller prévenir les autres ! », dit-il au moment où Victoria se prend un sort d’un autre enfant. Merde. James ne jure pas généralement (sauf exception). Mais la situation dégénère bien plus vite que prévue. Il ne recule cependant pas et retrouve l’autre petit groupe. « La cavalerie arrive ! ». Cette fois, ils doivent être prêts à répliquer. Lui y compris. Il resserre alors sa poigne autour de son arme à feu.
- Résumé a écrit:
- * Victoria et James guettent l'étage tandis que les autres dévalisent le Cabinet des Pensines. Hayley Travers suit les Hunter qui grimpent les marches vers l'étage
* Anastáz tente de faire un peu d'humour, suit la Travers avec la famille sur les talons et lance un Pousstoadla sur James qui recule de quelques pas et est légèrement déséquilibré.
* Zoltán fait la gueule parce qu'il a pas duuuuu tout envie de se battre pour défendre le château Kark. Il suit quand-même son frère à l'étage et lance un recurvite sur Victoria qui la frictionne violemment, la mouille et la recouvre de savon.
*Alors que Victoria se prend un sort de Recurvite, James (en plus de penser à son propre fils en voyant les Hunter débarquer) se précipite vers Jane, Adem, Joy et Henry pour les prévenir qu'ils ne sont plus seuls. |
| | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Dim 4 Fév - 0:58 « Vous voyez le blond là-bas ? Ő nekem.* Lui faites pas peur. » Elle plaisante, Cássandre, elle sourit et elle est trop occupée à dévisager son beau-gosse en costume pour bien comprendre ce qui se passe quand elle remarque du grabuge soudain vers l’entrée du hall. Elle entend Zoltán pester en hongrois et vue la tête de son frangin ainsi que l’expression qu’elle a juste le temps d’apercevoir sur le visage de Travers avant que celle-ci ne se retourne, elle sent venir le mauvais plan ; les battements de son coeur accélèrent brutalement. Ok. Ok, elle n’était pas du tout là pour ça. « Sérieusement ? » elle fait, aussi ulcérée que tétanisée à l’idée d’être entraînée dans un combat auquel elle n’a pas eu le temps de se préparer avant - ne serait-ce que psychologiquement. Quant à aborder le point de vue pratique, disons que. Elle est arrivée dans la faction à peine un mois et demi plus tôt et elle a déjà quelques missions à son actif mais aucune d’elles n’a été improvisée : autrement dit, elle n’était pas en robe de soirée et encore moins en talons hauts ! « Merlin röviden.** » Quand ils partent tous en courant, elle attrape la manche de Nas’ pour ne pas se laisser distancer, mais elle galère clairement à courir et en voyant que leur très respectée chef de groupe les entraîne vers les escaliers, elle éjecte ses escarpins sans réfléchir - elle se dit juste après qu'elle aurait pu prendre le temps de les changer en chaussures plus pratiques, ça aurait été plus intelligent. Quand elle relève la tête, il y a danger. « AVADA KEDAVRA ! » sursaut ; sa main libre vient se plaquer sur sa bouche dans un geste précipité tandis qu’elle retient de justesse un léger cri de surprise. Le temps qu’elle se décrispe, l’adversaire est déjà mort. Secoue-toi, Cáss. « Grimpez ! » Emboîtant le pas à ses cousins, elle ignore la peur. Elle fait juste ce qu’on lui dit pour l’instant, elle n’a pas le choix, et puis les frangins sont là, elle ne va pas se dégonfler, il est hors de question qu’elle les laisse seuls. C’est pour ça qu’elle est venue en Angleterre, pour être avec eux ; alors maintenant que ça y est, que c’est concret, pourquoi est-ce qu’elle tremble comme ça, hein ? Imbécile, elle gronde intérieurement en raffermissant sa prise sur son arme en grimpant les marches ; elle ne se dégonfle pas, elle suit les ordres, elle protège ses cousins. Allez. Ils sont arrivés en haut et elle les entend attaquer ; leurs ennemis sont là et malgré sa bonne volonté elle se sent hésiter, une seule seconde, avant d’imaginer l’un ou l’autre se faire foudroyer ; alors elle se poste à côté d’eux et elle ouvre la bouche pour crier « ENAMUROS ! » en braquant sa baguette en direction de la sorcière qui protège la porte -et qui vient visiblement de prendre une douche improvisée-, tandis que son comparse s’enfuit. - les dés :
Oui oui : Victoria est projetée contre le mur et sa jambe s'y retrouve coincée - seulement sa jambe, Cáss maîtrise mal le sortilège.
Oui non : Victoria est projetée contre le mur violemment, mais ne s'y enfonce pas du tout.
Non oui : Le sort manque clairement de puissance, Victoria recule à peine.
Non non : Victoria pare/Cássandre vise comme une taupe grabataire
- résumé :
* Victoria et James guettent l'étage tandis que les autres dévalisent le Cabinet des Pensines. Hayley Travers suit les Hunter qui grimpent les marches vers l'étage
* Anastáz tente de faire un peu d'humour, suit la Travers avec la famille sur les talons et lance un Pousstoadla sur James qui recule de quelques pas et est légèrement déséquilibré.
* Zoltán fait la gueule parce qu'il a pas duuuuu tout envie de se battre pour défendre le château Kark. Il suit quand-même son frère à l'étage et lance un recurvite sur Victoria qui la frictionne violemment, la mouille et la recouvre de savon.
*Alors que Victoria se prend un sort de Recurvite, James (en plus de penser à son propre fils en voyant les Hunter débarquer) se précipite vers Jane, Adem, Joy et Henry pour les prévenir qu'ils ne sont plus seuls.
*Cássandre est morte de trouille mais elle suit et elle s'efforce de ne pas se laisser déstabiliser ; elle attaque Victoria mais le sort la fait à peine reculer parce qu'elle est pas très douée la gamine.
___ *Ő nekem : il est à moi.
**Merlin röviden : par le slip de Merlin. |
| Filet du Diable HAVE YOU SEEN THIS WIZARD ? | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Dim 4 Fév - 0:58 Le membre ' Cássandre Hunter' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Lancer de dé ' : |
| | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Dim 4 Fév - 8:33 Je n’ai pas peur, je n’ai pas peur, je n’ai pas peur, mes dieux veillent. Je me répétais cette phrase en ajustant ma cagoule sur mon visage. Je sentais mon cœur cogner violemment contre ma poitrine, mais je m’obligeais au calme en glissant contre mon dos ma natte. Tout aller bien se passer. Du moins, nous allions tout faire pour réussir. Comme la dernière fois j’avais le droit à un pistolet, un couteau et j’avais de nouveau opté pour une potion aveuglante. Me trimballer avec des potions qui font des gros « boum » je passais mon tour moi ! Respire Joy. Je regardais autour de moi, à part la chef des Phénix que j’avais déjà vu de loin une fois ou deux et Adem je ne connaissais personne. Pourquoi Isaac n’était pas là ? Lui ou Batman m’auraient aidé à me sentir un peu plus à l’aise. Bon, au moins il y avait Adem en qui je pouvais avoir un millier de fois confiance et à qui je fis un petit sourire. Et comme encore une fois, j’avais la désagréable sensation d’être la boulet du groupe.
J’avalais ma salive péniblement en respirant profondément. Je fermais les yeux lorsque je refermais mes doigts sur notre moyen de transport. J’attendis que la sensation de tournis disparaissent pour rouvrir les yeux. Bien ! Une salle de bain ? D’accord, après l’ascenseur de la tour des médias une salle de bain, pourquoi pas. L’avantage ici c’était que je n’avais pas à monter des foutus étages à m’en briser les jambes. C’était pire, j’étais dans un manoir remplis de personnes voulant à tous notre mort. De toute façon, sur ce coup-là encore, je me taisais et j’obéissais en tentant de survivre, ou du moins rendre ma mort utile au besoin. J’eus une pensée stupide : j’imaginais bien Alice me dire qu’elle me tuerait si je mourrais. Ce n’était pas le moment de penser à ça !
Après une petite prière silencieuse je suivis le mouvement pour quitter la salle de bain. On se bouge. Plus on sera efficace, plus vite on pourra rentrer vite sans trop de pertes. Je tendis l’oreille malgré tout, visiblement c’était pour l’instant tout bon. Confiance envers les autres … Je devais avoir confiances envers les autres ! Ce qui entre nous n’était pas des plus facile quand on se connaissait depuis … dix minutes ? On ferait avec ! Je suivis Jane et … Henry ? Si ma mémoire était bonne, au travers des pièces. Je n’avais pas retenue les noms des autres.
J’attrapais le sac que me colla dans les bras Jane et hochais la tête. Très bien, j’avais compris, ne pas lâcher le sac sous aucun prétexte et le protéger au péril de sa vie. C’était noté, si ça pouvait aider l’Ordre a renverser les Mangemorts, je pouvais bien donner ma vie. Je ne savais pas ce qu’il y avait dans les fioles, mais je serrais le sac pour ne pas le lâcher en le gardant bien ouvert. De temps en temps je jetai des regards derrière moi pour voir si tout ce passait bien. Freya, Thor, Odin … Accordez nous votre protection s’il vous plaît ! S’il y a des morts mangemorts, considérez les comme une offrande de ma part, s’il vous plaît ! Je vous en supplie ! Un petit coup de main !
Non ? D’accord ! Visiblement vous ne m’aimez pas. Parce que nous sommes là depuis … dix minutes et visiblement on se faisait déjà attaquer. Je tendis l’oreille, mais à cause de la distance le n’entendais pas grand-chose. Et en plus je ne pouvais rien faire : j’avais les mains prises par ce sac. Boulet que je suis ! J J’observais le cabinet où nous étions pour tenter de voir une sortie potentielle , puis Jane et Henry. La suite du plan s’il vous plaît ? - Résumé:
* Victoria et James guettent l'étage tandis que les autres dévalisent le Cabinet des Pensines. Hayley Travers suit les Hunter qui grimpent les marches vers l'étage
* Anastáz tente de faire un peu d'humour, suit la Travers avec la famille sur les talons et lance un Pousstoadla sur James qui recule de quelques pas et est légèrement déséquilibré.
* Zoltán fait la gueule parce qu'il a pas duuuuu tout envie de se battre pour défendre le château Kark. Il suit quand-même son frère à l'étage et lance un recurvite sur Victoria qui la frictionne violemment, la mouille et la recouvre de savon.
*Alors que Victoria se prend un sort de Recurvite, James (en plus de penser à son propre fils en voyant les Hunter débarquer) se précipite vers Jane, Adem, Joy et Henry pour les prévenir qu'ils ne sont plus seuls.
*Cássandre est morte de trouille mais elle suit et elle s'efforce de ne pas se laisser déstabiliser ; elle attaque Victoria mais le sort la fait à peine reculer parce qu'elle est pas très douée la gamine.
*Joy espère vraiment le pas être le boulet du groupe et suit gentiment Jane. Elle ne fait globalement rien si ce n'est tenir le sac et attendre les ordres. Ah et : elle défendra le sac quoi qu'il arrive
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| Victoria McKay HAVE YOU SEEN THIS WIZARD ? | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Dim 4 Fév - 16:48 Juste avant le départ, Victoria enfile son masque multi-face, qui lui donne l’apparence d’une femme ayant à peu près son âge. Mais, surtout, il lui donne le visage qu’aurait Aveleen si elle était encore vivante aujourd’hui. Comme ça aurait été poilant qu’elle se retrouve en face de son sosie et qu’elle soit désemparée. Comme ça aurait été « poilant », oui, que deux sœurs de faction ennemies se fassent face avec le même visage pour se déchirer ensuite… Quelle idée. Mais c’est trop tard, à présent, pour changer d’avis et de visage. Maintenant.
Quand sa main se pose sur le portoloin, les entrailles de Victoria se tordent désagréablement. Peu importe sa forme, l’artéfact a, pour elle, une signification violente, synonyme de fuite hâtive, de peur, de survie. Toujours aller plus loin pour échapper à la poigne meurtrière de Nicolas. Pourtant, elle sait que cette fois-ci, il ne s’agit pas d’échapper à l’ennemi – mais plutôt de se jeter dans sa gueule. Elle le sait et le comprend très bien. Mais cela ne change en rien à ce qu’elle ressent physiquement à la vue et au toucher du portoloin – et à ce qu’elle ressentira toujours.
Arrivés au Manoir, Victoria est chargée de surveiller l’étage avec un moldu. Elle aurait préféré que ce soit Adam qui reste avec elle, simplement parce qu’elle le connait plus que celui qui l’accompagne. Elle n’a même pas eu le temps de retenir son nom mais il n’a vraiment pas l’air de vouloir faire la conversation. Tant mieux, elle non plus. Cette grogne qui l’habite depuis début janvier est encore là. Il ne peut plus te manipuler. Il ne peut plus te manipuler. Il ne peut plus te manipuler. Non, il ne peut plus la manipuler. Il faut qu’elle s’accroche à cette idée, cette simple idée qui a l’air si irréelle et qui doit pourtant être vraie. Puis, quelque chose d’autre la taraude : les Avery et les McKay seront certainement là – quoi d’autre qu’une telle occasion pour briller en société ? Et si elle en croise un sur son chemin, comme elle a croisé Caitlyn en décembre dernier lors d’une mission ? Et s’il reconnait Aveleen, avec vingt-cinq ans de plus, sur son masque ? Et si elle croise encore Eoin ? Aura-t-elle le cran de l’attaquer, encore ? Et si, cette fois, elle croise… Mordred ? Rien qu’à cette pensée, des frissons parcourent son échine et elle fait craquer les os de son cou. Si c’est lui, elle sera prête. La pensée de rencontrer Nicolas ne lui donne, par contre, malheureusement pas la même assurance. S’il est là, elle sera prête à se défendre et à décamper. En tant que mère, Victoria ne peut que comprendre et soutenir la motivation derrière cette mission. Mais il est impératif pour la McKay de ne pas se dévoiler – pas encore, pas maintenant.
Elle pensait redemander le nom de son compagnon moldu, quand ils entendent des pas dans l’escalier et la légère rumeur du rez-de-chaussée se transformer en un brouhaha plus agité. Scroutt, qu’est-ce qui les a trahi aussi rapidement ? Elle l’ignore, mais leur réaction a été rapide… L’ennemi sort de l’escalier, et Victoria découvre avec horreur qu’il s’agit de jeunes gens. Des adolescents de 15 ans, peut-être 17 ans. Mais ils sont trop jeunes, bien trop jeunes pour être aux premières lignes de la bataille. Le blondinet qui lance un premier sort basique ne le réussit même pas correctement… Les Mangemorts ont-ils donc perdu tous leurs soldats ? Enfin, qu’elle ne parle pas trop vite, la voilà astiquée de tous les côtés par un Recurvite… Le savon lui entre par la bouche et par le nez, ses vêtements sont trempés et mousseux, et ça frotte, ça frotte ! Tant mieux, elle en avait besoin ! La vie de fugitif, vous savez ? Pour choisir le bon moment, par contre, on repassera… Je vais aller prévenir les autres ! Ah bah super, merci pour le coup de main ! De toute façon, il n’aurait pas pu faire grand-chose et il est, en effet, plus urgent d’aller prévenir le reste de l’équipe. Le Recurvite prend fin quand Victoria enchaîne sur un autre sort. C’est bien sa vaine… Heureusement, il n’a pas l’effet escompté et ne la fait reculer que de quelques pas. Des enfants, nous disions donc. Ça n’empêche que cette entrée en matière l’a clairement agacée, et qu’elle est prête à découdre à son tour. Convivii ! Bien essayé, mais on repassera pour l’efficacité – il semblerait qu’ils se soient tous bien empiffrés de petits fours avant de venir et qu’aucun n’aura une faim handicapante comme elle l’aurait voulu…
Face à cet échec pour ralentir l’ennemi, Victoria grince des dents et s’en va rejoindre le reste du groupe.
- C'est l'heure de grailler !:
Dé #1 : Oui Oui : Le ventre grogne, il hurle même, il tape des pieds, il se roule en boule par terre, il ordonne et prend pleinement son rôle de deuxième cerveau. La faim est telle qu’elle est handicapante. C’est l’heure d’aller manger !
Oui Non : Le ventre grogne, mais ne prend pas le pas sur le cerveau. C’est quand même l’heure d’aller manger. Il vaut mieux se trouver quelque chose, et vite !
Non Oui : Le ventre grogne, mais il semblerait que ce soit plutôt la petite faim qui voudrait un encas. Rien de méchant, en soit.Non Non : Le ventre n’a rien à dire, passez votre chemin. Dé #2 : Qui a faiiiim ? (seulement si double Oui ou Oui Non/Non Oui)
Oui Oui : Hayley Tr-tr-tr-traveeeeers.
Oui Non : Petit cochon n°1, Zoltán.
Non Oui : Petit cochon n°2, Cássandre.
Non Non : Petit cochon n°3, Anastáz.
- Le résumé ? On devrait tous s'inscrire au CRD !:
* Victoria et James guettent l'étage tandis que les autres dévalisent le Cabinet des Pensines. Hayley Travers suit les Hunter qui grimpent les marches vers l'étage
* Anastáz tente de faire un peu d'humour, suit la Travers avec la famille sur les talons et lance un Pousstoadla sur James qui recule de quelques pas et est légèrement déséquilibré.
* Zoltán fait la gueule parce qu'il a pas duuuuu tout envie de se battre pour défendre le château Kark. Il suit quand-même son frère à l'étage et lance un recurvite sur Victoria qui la frictionne violemment, la mouille et la recouvre de savon.
* Alors que Victoria se prend un sort de Recurvite, James (en plus de penser à son propre fils en voyant les Hunter débarquer) se précipite vers Jane, Adem, Joy et Henry pour les prévenir qu'ils ne sont plus seuls.
* Cássandre est morte de trouille mais elle suit et elle s'efforce de ne pas se laisser déstabiliser ; elle attaque Victoria mais le sort la fait à peine reculer parce qu'elle est pas très douée la gamine.
* Joy espère vraiment le pas être le boulet du groupe et suit gentiment Jane. Elle ne fait globalement rien si ce n'est tenir le sac et attendre les ordres. Ah et : elle défendra le sac quoi qu'il arrive
* Victoria, avec l’apparence de sa défunte sœur, tergiverse mentalement sur divers sujets, tout en ignorant le nom du moldu qui l’accompagne dans sa tâche de surveiller l’étage. L’ennemi arrive, le moldu prend la fuite pour alerter leurs alliés, tandis qu’elle doit se débattre contre un recurvite puis se remettre d’un sortilège qui la déstabilise légèrement. Sa tentative pour leur faire sentir la faim de fugitif est un fail, elle s’en va donc rejoindre le reste du groupe dans le cabinet des Pensines.
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| Filet du Diable HAVE YOU SEEN THIS WIZARD ? | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Dim 4 Fév - 16:48 Le membre ' Victoria McKay' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
#1 'Lancer de dé ' : -------------------------------- #2 'Lancer de dé ' : |
| | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Dim 4 Fév - 18:22 C'est la première intervention concrète que je fais sans partir de chez McKay. Un détail, une futilité. Mais c'est ce à quoi je pense quand, avec mes camarades, nous arrivons à l'intérieur de l'immense demeure. Les rôles de chacun ont été soigneusement donnés, les leaders de choix emmènent leur troupe avec panache et détermination. Je suis ravi que la famille Windsor soit représentée, mais l'alliance avec les Phénix est toujours aussi riche, indispensable pour parvenir à nos fins, alors je sais me satisfaire de ces sorciers à mes côtés. La pièce dans laquelle nous opérons m'est austère, puante. Mes pensées se tournent vers Adara, automatiquement, face au éléments de vie de la Kark. Pourvu qu'elle se remette un jour du traumatisme causé par la saloperie défunte. Je reprends vite mes esprits lorsque Joy me passe devant en tenant fébrilement le sac confié par Jane. Oui, la mission. Le but. Je dois être utile à la cause en commençant par soutenir les autres. Joy et Victoria sont avec moi cette fois, j'ai bien l'intention de ne rien foirer - cette fois. Je n'ose toucher à rien ni espérer comprendre l'utilité des objets sorciers à disposition. Je constate à nouveau à quel point ils peuvent être étranges et dangereux. Quand je m'apprête enfin à les aider pour remplir le sac, James déboule, visiblement contrarié. La nouvelle n'en est pas vraiment une en revanche son effet m'est familier : appréhension, chaleur, crainte. « Bordel... Joy, reste en retrait. »Dis-je en chargeant mon arme, avant de relever le bandana au dessus de mon nez. Qu'ils s'occupent du vol s'ils le souhaitent, je préfère encore couvrir l'entrée de la pièce. Ces p#tains d'élitistes inhumains ne nous empêcheront pas éternellement de vivre ! J'aperçois Victoria qui nous revient rapidement, je l'interroge du regard quant à son état. Puis, appuyé contre le mur à l'entrée de la salle, je guette l'arrivée des escaliers, le palpitant qui s'emballe, la gâchette qui démange. - Feu a écrit:
Oui oui : Je fais feu dès que la première silhouette suspecte arrive en haut des escaliers : Zoltán est touché !
Oui Non : Le groupe de sorciers arrivent derrière Victoria, je fais feu mais la balle frôle légèrement Anastáz.
Non oui : Le groupe de sorciers arrivent derrière Victoria, je fais feu mais la balle frôle très légèrement Cássandre.
Non non : La première balle que je tire va se nicher dans la rampe d'escalier. Le peu d'effet sur la jeune femme me fait pester et je me mets rapidement à couvert lorsque j'aperçois les baguettes se pointer dans ma direction. - Résumé:
* Victoria et James guettent l'étage tandis que les autres dévalisent le Cabinet des Pensines. Hayley Travers suit les Hunter qui grimpent les marches vers l'étage
* Anastáz tente de faire un peu d'humour, suit la Travers avec la famille sur les talons et lance un Pousstoadla sur James qui recule de quelques pas et est légèrement déséquilibré.
* Zoltán fait la gueule parce qu'il a pas duuuuu tout envie de se battre pour défendre le château Kark. Il suit quand-même son frère à l'étage et lance un recurvite sur Victoria qui la frictionne violemment, la mouille et la recouvre de savon.
* Alors que Victoria se prend un sort de Recurvite, James (en plus de penser à son propre fils en voyant les Hunter débarquer) se précipite vers Jane, Adem, Joy et Henry pour les prévenir qu'ils ne sont plus seuls.
* Cássandre est morte de trouille mais elle suit et elle s'efforce de ne pas se laisser déstabiliser ; elle attaque Victoria mais le sort la fait à peine reculer parce qu'elle est pas très douée la gamine.
* Joy espère vraiment le pas être le boulet du groupe et suit gentiment Jane. Elle ne fait globalement rien si ce n'est tenir le sac et attendre les ordres. Ah et : elle défendra le sac quoi qu'il arrive
* Victoria, avec l’apparence de sa défunte sœur, tergiverse mentalement sur divers sujets, tout en ignorant le nom du moldu qui l’accompagne dans sa tâche de surveiller l’étage. L’ennemi arrive, le moldu prend la fuite pour alerter leurs alliés, tandis qu’elle doit se débattre contre un recurvite puis se remettre d’un sortilège qui la déstabilise légèrement. Sa tentative pour leur faire sentir la faim de fugitif est un fail, elle s’en va donc rejoindre le reste du groupe dans le cabinet des Pensines.
* Adem fait feu et la balle frôle la petite mangemort.
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| Filet du Diable HAVE YOU SEEN THIS WIZARD ? | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Dim 4 Fév - 18:22 Le membre ' Adem K. Wolf' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
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| Jane Callaghan HAVE YOU SEEN THIS WIZARD ? | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Dim 4 Fév - 21:21 « Second Tour »
J. Callaghan, H. Windsor & H. Travers
« Fermez cette porte. » Henry ne pouvait pas laisser Adem se mettre à découvert même si son acte était louable. Seulement, la visibilité et l’anticipation en devenaient impossibles. C’est là qu’il s’en remettait pleinement à Jane Callaghan : face à la magie, dans un assaut qui était de son fait, c’était à elle de donner la marche à suivre. Au moins au début. *** Hayley envoya une dernière onde de choc du haut des escaliers pour empêcher les formes mouvantes de les suivre, alliés ou ennemis, cela n’avait que peu d’importance sur l’instant. Elle avait ignoré les remarques des gosses qu’elle avait embarqués avec elle : leur avis n’était rien face à la mission qu’elle se fixait. Elle les remettrait à leur place plus tard. Enfin, s’ils survivaient. Au moins, ils avaient eu les bons réflexes en attaquant rapidement. Et ils venaient visiblement d’avoir un aperçu du manque de finesse des armes moldues. « Mettez-vous sur les côtés et tenez-vous prêts ! » lâcha-t-elle d’un ton qui n’attendait aucune suggestion. Ils furent autour de la porte en quelques instants, Hayley pile devant. *** « North, ce sac doit être préservé. » Jane referma aussitôt le sac, juste après le claquement de porte. « Mais pas au péril de votre vie. » La Callaghan avait jugé bon de le préciser en voyant la peur transparaître dans les yeux de la jeune fille. « Ils nous attendant sûrement dehors… - Je sais. Et nous allons les affronter. N’hésitez pas à tirer. L’heure n’est pas aux états d’âme. » Jane se plaça devant la porte, hésitant un instant entre un bouclier ou une attaque frontale. Juste un instant d’hésitation qui fut troublé par l’ondulation de la porte elle-même. Ils attaquaient les premiers, un bouclier s’échappa de la baguette de la Phénix en un filet gracieux mais déterminé. *** La porte ondulait, pour finir par vibrer entièrement. Un sortilège qu’elle ne connaissait pas. Allaient-ils tout faire exploser ? « À couvert ! » Travers les entraîna vers les escaliers. Puis une voix d’outre-tombe résonna avec puissance tout autour d’eux. « Aux ennemis de la famille Kark, nous offrons un choix : se rendre ou mourir. Pureté et Puissance. » *** « Nous rendre n’étant pas une option… - Mourir non plus. » D’un coup de baguette, Jane ouvrit la porte à volée et sortit du Cabinet… Pour y revenir instantanément. Elle avait pourtant traversé l’encadrement. Mais elle revenait à la case départ. Ils étaient coincés. *** La porte s’était ouverte et rien. Mais Travers savait que ce n’était plus seulement des terroristes qu’il fallait se méfier. Un sourire s’étira sur son visage : même mort, Mervyn Kark forçait son admiration. « Outch. » L’escalier venait de la frapper. Un des blocs le composant venait de glisser pour lui donner un coup dans les côtes avant de retourner à sa place. « Je vous conseille de surveiller l’ensemble des murs. » Elle espérait simplement que le château saurait reconnaître à un moment donné qu’ils étaient en train de le défendre. *** Les fioles de souvenirs commençaient à s’agiter et la grande pensine présente au centre de la pièce tourna sur elle-même. « Vos ordres ? » Jane se tourna vers Henry. « Protégez tous vos têtes. Et préparez-vous à affronter plus que des baguettes. Bombarda Maxima ! » L’encadrement vola en éclat et le souffle balaya la porte. Jane posa le pied dans l’embrasure et se retrouva enfin dans le hall de l’étage. « Blixten ! » La foudre frappa la Phénix en plein vol. «Informations» Contexte général ϟ Le château contre-attaque : Mervyn n’a pas fini de vous faire suer, même mort. Le château Kark est doté d’une protection supplémentaire dont les phénix et leur informateur n’avait pas vent. Ce système d’autodéfense sévit dans toute la demeure, et attaque mangemort et phénix de façon indistincte. Seuls les sorciers avec du sang Kark dans les veines sont en partie immunisé contre ces assauts. SI SI LA FAMILLE ! Ce qui se passe dans votre groupe : ϟ Was passiert ? Travers a rejoint les Hunter tandis que les terroristes s'enferment dans le Cabinet des Pensines. L'avertissement du château tombe et tout part en vrille : les mangemorts se cachent du côté de l'escalier gauche tandis que Jane ouvre la porte et tente de la franchir. Seulement, c'est un franchissement fantôme et une fois l'encadrement passé, elle retourne dans la pièce initiale. Du coup, pour pallier à ça, elle défonce tout pendant que les blocs de l'escalier frappent les mangemorts et que la pensine menace de décapiter les terroristes  ϟ Keskonfé ? On tente de s'affronter gaiement tout en évitant les coups bas du château Le Salon des Prophéties peut être intéressant à piller pour les Phénix/NI mais survivre sera déjà un bon début  ϟ Les dés-dés ? Les normes pour attaquer les PNJ sont les mêmes qu’au tour passé. Par contre, vous devez lancer un dé pour savoir si le château vous empêche d'attaquer : si vous avez un oui, vous avez le temps de lancer un sort avant d'être attaqué par la bâtisse mais si c'est un non, vous ne pouvez attaquer  ϟ N’oubliez pas de nous prévenir si jamais vous ne pouvez pas poster durant le tour en cours ou si pensez poster en toute fin de tour : ce sont des informations qui nous sont nécessaires pour nous organiser. ϟ Fin du tour Ce tour se terminera le mardi 6 février 2018 à 19h. |
| | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Lun 5 Fév - 11:06 Je n'insiste pas et me mets en retrait dès que les leaders passent la porte. Ils mettent au point un plan que je n'entends que d'une oreille, occupé à recharger mon arme et à observer mes camarades un à un. Si les sorciers et moldus sont différents sur des dizaines de points, je retrouve celui que nous avons en commun sur les traits des visages en face de moi. L'angoisse est palpable mais tous les individus ici présent sont déterminés, solidaires. C'est une maigre consolation sachant que la mort peut frapper n'importe quand, mais quand même. Je suis fier d'être entouré par ces braves. Après avoir été frappée par je ne sais quelle connerie venue du couloir, Jane est obligée de faire exploser l'entrée du cabinet des pensines pour détruire le mécanisme qui nous tenait prisonnier. Enfin, mécanisme, ou sortilège plutôt. En revanche le château ne semble pas se calmer et je préfère m'éloigner du mur malgré la désagréable sensation d'être exposé de toutes parts ; La magie est en partie notre alliée, une fois de plus, mais tous les risques qu'elle implique me tordent l'estomac. Comme si le moindre pas allait déclencher un piège mortel que je ne suis même pas foutu de comprendre ! Je me demande ce que j'irai raconter à St Pierre, une fois là-haut tiens ; Lorsque la Phénix est percutée par je ne sais quelle folie encore, j'ai le réflexe de retourner près du mur et autres débris pour m'abriter. Dès que la poussière ambiante se dissipe suffisamment pour me permettre un angle de tir, je m'apprête à faire feu. Il faut laisser le temps à Jane de se ressaisir. - Le château a écrit:
Oui : Aucune lourde brique ne me prend pour cible, je peux tirer.
Non : Je ferme un œil pour être sûr de toucher le premier gamin que je vois mais un morceau de la bâtisse percute douloureusement mon genou. - Feu a écrit:
- Oui oui : La Travers est touchée !
Oui Non : La balle frôle Anastáz.
Non oui : La balle frôle Zoltán.
Non non : ...De toute façon personne ne découvre que je ne sais pas viser. Le craquement me fait pousser un grognement et je me retrouve à genou, pas loin de Jane encore sous le choc, face à ces enflures. La douleur me désoriente et je ne peux pas attaquer avant les ennemis ; - Résumé:
* Travers a rejoint les Hunter tandis que les terroristes s'enferment dans le Cabinet des Pensines. L'avertissement du château tombe et tout part en vrille : les mangemorts se cachent du côté de l'escalier gauche tandis que Jane ouvre la porte et tente de la franchir. Seulement, c'est un franchissement fantôme et une fois l'encadrement passé, elle retourne dans la pièce initiale. Du coup, pour pallier à ça, elle défonce tout pendant que les blocs de l'escalier frappent les mangemorts et que la pensine menace de décapiter les terroristes
* Adem se planque comme il peut pour viser mais un morceau du château l'en empêche et fracasse son genou.
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| Filet du Diable HAVE YOU SEEN THIS WIZARD ? | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Lun 5 Fév - 11:06 Le membre ' Adem K. Wolf' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
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| | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Lun 5 Fév - 12:31 Je levais les yeux vers Adem quand il m’ordonna de rester en retrait. Hey ! Je voulais être utile ! Ne me traite pas comme un boulet inutile ! Je peux être utile ! Si je pouvais protéger le sac rien qu’un peu. Au lieu de passer les bretelles pour le porter dans le dos, je les passais de façon à avoir le sac devant moi. Les mangemorts adoraient attaquer dans le dos, je ne tenais pas à ce que le sac soit abîmé. Je croisais le regard de Jane. Alors chef, je vous aime beaucoup, mais honnêtement, je pense que le contenu de ce sac à au moins … Une bonne douzaine de fois la valeur de ma vie. Bon, visiblement la cavalerie des esclavagistes arrivait. Et nous étions enfermés dans cette petite pièce. J’adore !
Bon, on a quoi comme option maintenant ? Fuir. J’aimais bien cette option. Même si dans l’état des choses, cela n’allait clairement pas être une partie de plaisir. Mais on allait faire avec. Je me retiens de prendre la main à Adem, je venais de penser que je ne voulais pas être couvée ! Je devais agir de la sorte. Par contre quand la phénix déclara, après visiblement s’être fait avoir par une protection du château en essayant de sortir, de protéger nos têtes et de faire attention parce que visiblement en face il n’y avait pas que des baguettes, ils utilisaient des armes moldus maintenant ? En parlant d’arme moldu, je sortis mon pistolet en avalant ma salive. J’aurais préféré le couteau … Mais je n’étais pas encore tout à fait sûre qu’on puisse encore se jeter comme ça face à des baguettes magiques
Je me plaquais les mains sur les oreilles lorsqu’elle lança le sort et me recroquevillai contre le mur lorsque Jane lança son sort qui défonça le mur. Alors … Définitivement elle ne savait pas faire dans la dentelle ! Je me plaquai contre le mur en fermant à moitié les yeux et en toussant à m’en arracher les poumons. Je m’étais pliée en deux pour protéger en partie le sac. La poussière retomba et je jetais un œil dans le couloir … Coucou les mangemorts !
Je pris une profonde respiration avant de pointer mon arme. Un morceau de bâtisse tomba non loin de moi et je tirais au même moment. Sans même prendre le temps de voir si j'avais touché, je pariais que non, je filai vers Adem qui semblait s'être prit un morceau de je ne sais quoi dans les genoux. Personnellement un morceau me toucha à l'épaule droite, j'étais gauchère, mais bon sang ça m'avait fait mal !
" Ça va aller ? Tu peux encore marcher ?"
Si on devait courir je pourrais toujours l'aider un peu ... Mais delà à dire que je pourrait le porter sur mon dos il y avait un monde. - Les Dés:
Oui : Joy ne se prend aucun débris dessus
Non : Elle se prend un morceau de bâtisse dans l'épaule
Si oui :
Oui-oui : Une balle pour Traverse !
Oui-non : Zoltan la balle frôle ta main
Non-oui : Anastaz, elle te passe un peu au large
Non-non : Joy est vraiment une bille au tir
- Résumé*:
Adem se planque comme il peut pour viser mais un morceau du château l'en empêche et fracasse son genou.
*Un morceau de bâtisse passe tout près de Joy, elle n'est pas touchée, qui en profite pour tirer, elle touche la Traverse, gros gros gros coup de chance, et va voir si Adem a pas besoin d'aide.
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| Filet du Diable HAVE YOU SEEN THIS WIZARD ? | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Lun 5 Fév - 12:31 Le membre ' Joy North' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
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| James Windsor HAVE YOU SEEN THIS WIZARD ? | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Lun 5 Fév - 16:50 James aurait voulu s’excuser auprès de la sorcière – comment s’appelle-t-elle déjà ? – de l’avoir laissé en plan face aux enfants Mangemorts. Mais ce n’est ni le lieu, ni le moment pour dire quoi que ce soit. James s’était exécuté lorsque son cousin demande de fermer la porte en retenant un soupir. A peine arrivé que le plan de la Callaghan commençait déjà à ne plus être respecté. La manière dont les Mangemorts les ont repérés aussi rapidement reste un mystère pour le Windsor et cela ne faisait que commencer.
Il tend l’oreille quant à l’annonce du plan entre son cousin et la Callaghan et resserre instinctivement sa poigne autour de son arme, prêt à riposter cette fois. Il se doit de faire fi de l’âge de leurs assaillants : il a très bien compris qu’ils n’allaient pas être conciliants avec eux, alors à quoi bon l’être en retour ?
Enfermés dans le Cabinet des Pensives, les bruits contre la porte font à nouveau comprendre à James qu’il n’a pas le choix : s’il n’attaque pas, il mourra. Mais à peine la Callaghan s’entoure d’un bouclier magique qu’une voix émane dans toute la bâtisse. Se rendre ou mourir ? Deux options qui n’en sont pas une, clairement. Prêt à tirer alors que la Callaghan franchit la porte du Cabinet, il reste quelques instants surpris de la revoir dans la pièce. Le Windsor retient un juron alors que la pièce elle-même semble vouloir les attaquer. Son cœur bat à tout rompre alors que Jane leur ordonne de protéger leur tête avant de lancer un sort d’explosion contre le mur. Et tout s’enchaîne rapidement.
Adem n’a pas le temps de tirer qu’un bout de la bâtisse le touche au genou. Etrangement, c’est la jeune moldue Phénix qu’il pense toute frêle et timide qui fait preuve d’un grand courage. Elle a une chance insolente : elle évite les débris et touche la seule réelle adulte du groupe des Mangemorts – une sorcière dont il va devoir se méfier comme de la peste – du premier coup. Un « Bien joué ! » se retient dans sa gorge alors que James pointe d’une main son arme vers le petit groupe et essaye tant bien que mal de se protéger avec l’autre.
- Dé 1 - la bâtisse contre-attaque:
Oui : les réflexes d'escrimeur de James sont au point et il évite de se prendre une pierre du château. James peut alors tirer sur le groupe de Mangemorts
Non : le château est plus rapide et James se prend une pierre dans l'épaule. Aïe.
- Dé 2 - inutile:
Oui Oui : Et une nouvelle balle pour la Travers, une !
Oui Non : Zoltán fait les frais de la balle moldue (où tu veux !)
Non Oui : Cássandre fait les frais de la balle moldue (où tu veux !)
Non Non : Le petit groupe réussit à éviter la balle - James, ce n'est pas le moment de mal viser bon sang !
Le Windsor est sur le point de tirer sur le groupe au moment où une pierre du château, sortie d'il ne sait où et qu'il n'a pas eu le temps de voir venir, fonce sur son épaule, l'attaque et le déstabilise. Au sol, James serre les dents et retient un cri de douleur. Heureusement pour lui, son épaule souffre mais n'est pas disloquée. Il repassera plus tard pour l'héroïsme.
- Résumé a écrit:
- * Adem se planque comme il peut pour viser mais un morceau du château l'en empêche et fracasse son genou.
* Un morceau de bâtisse passe tout près de Joy, elle n'est pas touchée, qui en profite pour tirer, elle touche la Travers, gros gros gros coup de chance, et va voir si Adem a pas besoin d'aide.
* James, quant à lui, n'est pas aussi chanceux : un morceau de la bâtisse vient rencontrer son épaule. Le choc le fait tomber au sol : il a mal mais il s'en remettra - tout comme son épaule qui, heureusement, n'est pas disloquée mais qui morfle quand même. |
| Filet du Diable HAVE YOU SEEN THIS WIZARD ? | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Lun 5 Fév - 16:50 Le membre ' James Windsor' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
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| Victoria McKay HAVE YOU SEEN THIS WIZARD ? | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Lun 5 Fév - 21:40 Victoria débarque dans le cabinet, les Mangemorts à ses trousses. Elle s’arrête à côté de la porte par laquelle elle vient de pénétrer, essoufflée. Bordel, c’était plus facile quand elle avait trente ans tout ça. Sauf qu’à ce moment-là, elle ne s’était pas battue. Ou du moins, pas comme aujourd’hui. Elle avait fui, s’était cachée, et avait lutté.
Quand Adam vise dans sa direction, son cœur s’arrête un instant. Quand il tire, son cœur s’arrête encore. Quand la balle passe à côté d’elle, son cœur repart de plus belle. Elle sait qu’il ne la visera pas, elle le sait – il ne la visera pas, n’est-ce pas ? Mais pendant un instant, son cœur a cessé de battre comme lorsqu’elle entendait les pas de l’ennemi s’approcher de sa tente. Son cœur a cessé de battre, parce qu’il a reconnu là l’annonce de la Mort. Sa voix qui chante doucement et susurre des poèmes, malgré le temps qui s’écoule à une vitesse infaisable. Ses bras qui s’enroulent autour d’elle avec candeur, malgré la violence qui l’entoure. La Mort, qui lui chatouille le visage et passes ses doigts dans ses cheveux de jais, qui lui sourit avec peine et approche ses lèvres, passe par là et repassera, comme elle est souvent passée, et comme elle passera encore – pour, à la fin, lui déposer le fatal baiser.
Mais pas aujourd’hui. Aujourd’hui, elle est seulement autour d’elle – et non avec elle. Aujourd’hui, Victoria est encore en vie, et compte bien le rester. Elle s’éloigne donc de la porte qui est immédiatement refermée sous l’ordre du rouquin qui était là aussi, à la Tour des Médias. Nous allons les affronter. N’hésitez pas à tirer. L’heure n’est pas aux états d’âme. Victoria hoche la tête, prête à suivre la cheffe. C’est à ce moment que la porte se met à… Onduler puis à vibrer. Aux ennemis de la famille Kark, nous offrons un choix : se rendre ou mourir. Pureté et Puissance. Par Morgane, et puis quoi encore… ! Jane, en accord avec le meneur moldu, décide l’affront… Jusqu’à revenir dans la pièce, comme si elle ne l’avait jamais quitté. Par Merlin, ET PUIS QUOI ENCORE ! Victoria serre du poing, franchement agacée par la situation. Ils ne sont pas là pour tourner en rond, et pourtant, c’est exactement ce qu’il leur arrive.
La pièce commence à trembler et la situation à s’aggraver sérieusement. On a dit « pas aujourd’hui », donc ça ne sera pas aujourd’hui. Ça ne sera pas aujourd’hui. Le ciel leur tombe sur la tête – ou plutôt, le plafond et tout ce qui peut se trouver autour. Mais ça ne sera pas aujourd’hui. Comme une mère qui donne la morale à son enfant, Victoria se répète ces mots intérieurement. Pas aujourd’hui. Ça ne sera pas aujourd’hui. Jane fait exploser l’encadrement la porte d’entrée du cabinet, donnant enfin accès au hall du premier étage… Pour être immédiatement attaquée par l’ennemi. Adem est atteint au moment où il souhaitait tirer, l’autre moldue armée évite le pire et… Touche l’ennemi ?! De loin et avec la pluie de météorites, Victoria ne voit pas encore de qui il s’agit, mais cette attaque la remet d’aplomb. Le troisième moldu, celui qui l’a abandonnée plus tôt, veut tenter sa chance, mais est touché également. Elle évite, pour sa part, un gros morceau qui lui tombe dessus grâce à un protego. Pas aujourd’hui, on a dit ! Manus ! Le jet part, mais elle vise à côté. Champion ! ... Surtout quand un roc atterrit tranquillement sur son épaule droite juste après.
- La force n’est vraiment pas avec moi :grumpy:
Dé #1 : Ayez pitié des vieux os de ma p’tite dame ! Oui : Un protego et le tour est joué ! Non : T’as rêvé ? Voilà qu’une pierre t’atteint à l’épaule.Dé #2 : Manus ! Oui Oui : Et c’est le molosse qui est servi !
Oui Non : C’était Zoltan qui méritait une correction, on dirait.
Non Oui : Ah non, Cassandre ! Pauvre petite pourrie gâtée, faut bien faire son éducation après tout !Non Non : Une baffe, par qui ? Pour qui ? Personne on dirait bien.
- La joyeuse bande de bras cassés (sauf Joy):
* Adem se planque comme il peut pour viser mais un morceau du château l'en empêche et fracasse son genou.
* Un morceau de bâtisse passe tout près de Joy, elle n'est pas touchée, qui en profite pour tirer, elle touche la Travers, gros gros gros coup de chance, et va voir si Adem a pas besoin d'aide.
* James, quant à lui, n'est pas aussi chanceux : un morceau de la bâtisse vient rencontrer son épaule. Le choc le fait tomber au sol : il a mal mais il s'en remettra - tout comme son épaule qui, heureusement, n'est pas disloquée mais qui morfle quand même.
* Victoria doute légèrement des bonnes intentions d'Adem, quand il vise les Mangemorts juste derrière elle, parce qu'elle a un peu la frayeur de sa vie à ce moment-là. Elle tergiverse encore mentalement – c’est ce qu’elle fait de mieux, apparemment. Elle évite de justesse un roc qui lui tombe dessus grâce à un protego, mais quand il s’agit de viser l’ennemi, ce n’est pas encore ça. Investir dans des lunettes, ça serait une idée intelligente, non ? Elle se prend ensuite un bout de château sur l'épaule gauche.
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| Filet du Diable HAVE YOU SEEN THIS WIZARD ? | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Lun 5 Fév - 21:40 Le membre ' Victoria McKay' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
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| | | Re: Ϟ Libera nos a malo Ϟ Groupe II ce message a été posté Mar 6 Fév - 18:10 Ennemis, ennemis..Etions-nous techniquement des ennemis si on ne pouvait pas les piffrer, les Kark? Ca se savait que P'pa et Arutha Kark avaient un certain passif même si nous n'avions pas nous-même tous les noeuds de l'histoire. Mais jusque là, on s'était contenté de leur cracher dessus discrètement quand même, avec la belle hypocrisie anglaise qui devait aussi couler dans nos veines. Donc, est-ce que cela comptait?
Je jetais un bref regard éloquent à Zoltán, et Cássandre alors que la voix caverneuse s'élevait, me faisant frissonner. Pour croiser celui de Travers.
"Et moi qui nous croyait du bon côté, à aider à sauver le fabuleux Manoir Kark..."
Tout s'était déroulé très vite quelques instants auparavant. Juste après que Zol' ait fait mousser une terroriste, une.. balle avait frôlé Cáss. Un putain de projectile moldu! Par les couilles de Merlin, je la retenais cette fichue soirée! J'avais copieusement insulté le..moldu..qui était à l'origine de cette horreur - en hongrois- avant même de vérifier que la cousine se portait bien. Il allait voir celui-là! Cette petite sous-merde qui pensait avoir une quelconque liberté d'agir et d'exister.. Et de nous blesser, nous, sorciers.
Ce que je m'étais apprêté à faire, suivant les ordres de Travers en rejoignant la porte qui retenait le groupuscule avant..de faire marche arrière juste après. Elle se fichait de nous ou.. Les murs avaient tremblés, la voix d'outre-tombe s'était élevée et la porte explosive plus loin n'était plus le seul problème.
"Lòfasz!" Un énorme truc indéterminé mais sacrément violent et surtout dur venait de me démonter le tibia alors même que je m'apprêtais à viser l'autre Geni* de moldu qui avait osé viser Cáss plus tôt. A la place, je me rattrapais sur Zoltán tout en gémissant et...dégringolait les marches avec lui. Y gagner quelques bleus de plus, sans compter.
"Ah putain..ça douille.. Va tesó* ?"
Ma jambe me lançait douloureusement et j'avais déchiré un morceau de chemise dans la chute! Fait chié!
- Les dés:
1. Un morceau de rambarde en pierre sculpté lui tape dans la jambe. Est-ce qu'il gère?
oui - Le coup n'est pas trop violent et le déséquilibre est gérable: Zoltán l'aide à ne pas dégringoler.
non - Le coup est violent, le déséquilibre tout autant..Il a beau essayer de se rattraper à Zoltán, il ne fait qu'entrainer l'autre dans sa chute, dégringolant quelques marches sans douceur.
2. Si oui au 1er dé, Nas' touche t-il Adem?
oui oui -- Paf dans les dents! Le fou rire interminable touche Adem qui ne peut plus s'arrêter de rire, de quoi être rapidement à bout de souffle et avoir mal aux côtes!
oui non -- Paf Adem est touché et éclate de rire, c'est drôle et un peu gênant pour lui, mais pas ultra entravant.
non oui -- Paf Adem est touché, il éclate de rire. D'un coup. Et puis plus rien.
non non - Le coup dans la jambe lui fait dévier le sort qui percute Cáss. Sorry!
- Résumé:
* Adem se planque comme il peut pour viser mais un morceau du château l'en empêche et fracasse son genou.
* Un morceau de bâtisse passe tout près de Joy, elle n'est pas touchée, qui en profite pour tirer, elle touche la Travers, gros gros gros coup de chance, et va voir si Adem a pas besoin d'aide.
* James, quant à lui, n'est pas aussi chanceux : un morceau de la bâtisse vient rencontrer son épaule. Le choc le fait tomber au sol : il a mal mais il s'en remettra - tout comme son épaule qui, heureusement, n'est pas disloquée mais qui morfle quand même.
* Victoria doute légèrement des bonnes intentions d'Adem, quand il vise les Mangemorts juste derrière elle, parce qu'elle a un peu la frayeur de sa vie à ce moment-là. Elle tergiverse encore mentalement – c’est ce qu’elle fait de mieux, apparemment. Elle évite de justesse un roc qui lui tombe dessus grâce à un protego, mais quand il s’agit de viser l’ennemi, ce n’est pas encore ça. Investir dans des lunettes, ça serait une idée intelligente, non ? Elle se prend ensuite un bout de château sur l'épaule gauche.
*Anastáz râle, peste en hongrois contre Adem, les moldus et le manoir avant de se prendre un violent coup de ce dernier dans le tibia, il se casse la figure dans l'escalier, entraînant Zoltán dans sa chute, quelques marches plus bas.
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Lòfasz = putain/bullshit
Geci= conn*rds
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